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 Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]

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MessageSujet: Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]   Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah] EmptyDim 19 Mar - 16:48

J’avais eu énormément de chance ce soir. Ça faisait déjà plusieurs nuits que j’observais les patrouilles, leurs rondes et les quelques endroits où je pourrais passer sans me faire repérer et ainsi sortir pour toute la nuit. Tout est une question d’observation, de patience, de discrétion et de rapidité. Fort heureusement pour moi, je savais faire preuve de toutes ces choses quand il le fallait.
Une fois en dehors du camp, il fallait me dépêcher pour ne pas être prise en flagrant délit au dernier moment. Je pouvais toujours donner une excuse quand j’étais encore à l’intérieur du camp, mais prétendre faire une balade nocturne alors que je faisais tout pour rejoindre New-York, c’était une autre histoire.
Le chemin jusqu’à la grande ville ne m’a pas vraiment dérangé, j’ai toujours tout fait à pieds de toute façon. L’air frais me donne l’impression de revivre. Je n’ai jamais aimé être enfermée, sûrement cela venait-il de mes sept années passé chez moi sans jamais sortir plus de cinq minutes sur le balcon. Le fait est que je me sens à l’étroit dans ce camp de malheur remplis de romains tous plus coincés les uns que les autres. Ça ne leur arrive donc jamais de désobéir à leurs supérieurs ? La seule pour qui j’ai ce qui peut s’apparenter à du respect est une fille de Mercure, Giulia je crois.
J’étais arrivé à Times Square et je jetais des coups d’œil un peu partout, cherchant de quoi occupé ma soirée avant qu’un monstre ne me repère. J’aperçus alors une jeune femme et ses amies habillée d’une façon plus que provocante. Le peu de tissus qu’elle portait ne laissait aucune place à l’imagination et son maquillage recouvrait son visage pour un rendu voyant et très peu naturel. Elles passèrent alors à côté d’un petit garçon aux habits sales et déchirés. Celui-ci mendiait et leur demandait naturellement quelques pièces pour pouvoir s’acheter de quoi le nourrir lui et la petite fille derrière lui que je devinais être sa sœur. La grande blonde à la tête semblable à une peinture de Picasso sortit une liasse de billet de sa pochette rose à strasses et la tendit devant le visage du garçon qui croyait rêver. Son visage s’était éclairé en un rien de temps et je comprenais parfaitement ce sentiment pour l’avoir vécu. Sa joie fut cependant de courte durée puisque la blonde rangea l’argent aussi tôt dans son sac et se mit à pouffer avec ses amies sous les regards indifférents des passants. Je ne sais même pas ce qui me retient d’aller la torturer.
Je me précipite alors vers les deux enfants en larmes et recroquevillés sur eux même et leur donne le peu d’argent que j’avais sur moi, accompagné de l’un de mes rares véritables sourires.
Je me baladais tranquillement dans les rues quand des plaintes étouffées et suraigüe me parvinrent. Je tournais la tête pour chercher leur provenance quand mon regard fut attiré vers une ruelle. Je m’avançais, aux aguets et prête à dégainer ma dague en cas de besoin, quand je vis la misérable humaine qui produisait encore ces sons insupportables. Je reconnus sans mal la blonde de tout à l’heure avec ces « habits » plus que voyants. Son maquillage avait coulé et elle ne m’avait jamais semblé aussi pathétique. Deux hommes la coinçaient contre le mur et empestaient l’alcool de là où je me trouvais.
Je soupirais, les humains sont de plus en plus bêtes au fil des époques ma parole. Je devrais faire quelque chose, c’est ce que la plus part des gens ferait. Pourtant, je ne ressens rien face à ce spectacle des plus déplorables, exceptés de l’exaspération. Ça ne me prendrait que quelques minutes pour les réduire en cendre, mais cette femme méritait aussi de payé. Les pleurs des enfants et ces rires ne cessaient de me revenir à l’esprit et je décidais de ne rien faire pour le moment. Je m’occuperais de ces assaillants une fois qu’elle aura souffert. Si il le faut je les achèverais tous les quatre de mes mains.
J'entendis alors des bruits de pas derrière moi. En me retournant je remarquais une jeune femme que j'avais déjà aperçus au camp, mais impossible de mettre un nom dessus. Je lui sourit faussement et lui lançait sur le même tont que si je parlais de la pluie te du beau temps:

Beau spectacle non?
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MessageSujet: Re: Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]   Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah] EmptyMer 22 Mar - 16:16


Crise d'antipathie
Azaliah et Cassiopée


Neil avait raison. Lorsqu’on se comporte de manière exemplaire au camp, on réussit à avoir des journées de permission de sortie. J’ai travaillé fort pour avoir cette fameuse permission. J’ai souvent pris les tours de gardes des membres de ma cohorte, ce qui m’a valu d’énormes cernes sous les yeux. Je m’entraîne beaucoup en solo en plus de mes entraînements avec la fille de Jupiter. Je n’aime pas me plier aux règlements comme ça, mais je préfère jouer avec ruse. S’ils voient que je fais des efforts, ils ne me soupçonneront pas de filer à l’Anglaise régulièrement. De toute façon, je ne le fais pas pour eux. Je le fais pour Sam. D’ailleurs, mes tours de garde ont déréglé mon cycle de sommeil. Le regard dans le vide, je me concentre sur le mouvement de va-et-vient du thorax de mon petit frère. Inspire. Expire. Inspire. Expire. Je jette un coup d’œil à sa bouille d’ange, un sourire triste au visage. J’avais l’habitude de jouer avec ses boucles blondes pour qu’il s’endorme. Or, la chimiothérapie a eu pour conséquence de lui mettre la boule à zéro. Il a l’air plus jeunes quand il dort. Ses traits retrouvent leur douceur et il redevient alors soudainement le petit garçon qui courrait partout dans la maison il y a déjà de cela quelques années. Silencieusement, je descends du lit et pose un baiser sur son front avant de sortir de la chambre.

Mes parents dorment, eux aussi. Je suis heureuse de les avoir vus. Tout compte fait, je préfère largement les journées de permission à la fuite. Pour une fois, je ne suis pas nerveuse. Pour une fois, je n’ai pas à regarder ma montre aux deux minutes en me disant que je dois rapidement retourner au camp des sang-mêlés. J’attrape vite fait de quoi me couvrir et enfile mes bottines avant de m’engouffrer dans la rue, armée de Samaël, mon épée en or impérial. Heureusement, la brume fait en sorte que personne ne voit que c’est une réelle épée. Je passerais pour une folle, sinon. Je prends une grande goulée d’air et un léger sourire s’installe sur mes lèvres. J’adore me promener la nuit. La noirceur et le calme me réconfortent. Je longe la 77th pour emprunter la 5th Avenue. Je laisse mon esprit vagabonder tout en contournant Central Park. Le temps est doux et je sens enfin mes épaules se détendre. Je suis à cran, quand je viens visiter ma famille. La peur me tétanise. Je ne veux pas perdre Sam. J’essaie le plus possible de profiter des maigres instants qui me sont accordés. Cela doit faire une trentaine de minutes que je marche lorsque j’arrive finalement à Times Square.

Soudainement, des cris féminins atteignent mes oreilles. Je me fige, ne sachant que faire dans une telle situation. Je n’ai jamais eu à intervenir dans une agression quelconque en Caroline du Nord. Je suis les plaintes jusqu’à un coin peu éclairé. De là, je vois une femme prise au piège entre deux hommes très insistants. Un nœud de panique me tort l’estomac alors que j’essaie de réfléchir. Silencieusement, je m’approche des trois inconnus malgré la peur qui me tétanise. Comment l’homme peut-il être aussi méchant? Je n’arriverai jamais à comprendre pourquoi certaines personnes aiment faire du mal aux autres. Tout ça me dépasse totalement. Puis, je remarque ensuite une petite brune qui regarde la scène, comme moi. Je me demande depuis combien de temps elle est là. Peut-être qu’elle se sent aussi inutile que moi devant cette situation. Beau spectacle non? Je ne m’attendais certainement pas à un tel commentaire. Je m’approche d’elle, le regard dur. Je sais qui elle est. Je l’ai vu au camp. Tout le monde sait qui elle est. C’est la fille d’Hadès. Tu veux rire, j’espère? Elle ne peut tout de même pas trouver cette scène amusante, si? Quel genre de personne aime regarder une fille se faire agresser?
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MessageSujet: Re: Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]   Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah] EmptyJeu 23 Mar - 23:34

Blondie s’approche de moi avec un regard dur qui me fait rire intérieurement d’une façon assez moqueuse, je dois bien l’admettre. Elle a l’air énervée et outrée suite à ma remarque. Elle doit se dire que personne ne mérite ça, que je suis une horrible personne ou quelque chose du genre. Si c’est bien le cas, elle n’aurait raison que pour la deuxième personne. Je ne suis pas vraiment une personne qu’on apprécie de base. Je n’ai jamais réussi à savoir si c’était dût à mes origines, à mon passé particulier qui m’a donné des réactions plus ou moins inhabituelles pour la plus part des gens ou juste si j’ai mauvais caractère. Sûrement était-ce un mélange des trois. Pourtant, Neil a bien sût m’apprécier et me considérer comme une amie. Il faut aussi remettre dans le contexte notre rencontre, j’ai quand même pleuré dans ses bras alors que je ne pleure jamais en public. Je trouve les gens qui pleure faible alors je m’efforce de ne pas me montrer aux autres quand j’ai besoin de lâcher prise.

Tu veux rire, j’espère?

Je la regarde dans les yeux, un rictus à la fois méprisant et moqueur sur le visage. A première vue je dirais qu’elle m’a reconnue. Ca ne m’étonne pas vraiment à vrai dire. Je la fixe quelques secondes avant de reporter mon regard sombre sur le véritable spectacle, de mon point de vue en tout cas, qui s’offrait à nous. A part le pot de peinture, on ne nous avait pas remarqués et je pouvais donc observer la scène sans les interrompre. Je parlais d’une voie assez basse à Blondie, toujours se sourire qui ne devait pas être très rassurant scotché au coint de mes lèvres.

Tu sais Blondie, le monde n’est pas toujours tout rose et il faudrait que tu te rendes compte que c’est pareil pour tout le monde.

Je tente en vain de trouver quelque chose de révoltant ou une quelconque empathie en moi, mais il faut croire que ce genre de situation ne me fera jamais plus rien. La douleur d’autrui ne m’atteint pas, seul mes sentiments compte désormais. C’est bien plus facile quand ça. Je n’aurais jamais réussi à tuer autant d’humains si je ressentais de la culpabilité ou de la pitié à leur égard alors qu’ils me suppliaient ou qu’ils me regardaient, résignés. Il n’y a rien eu en moi depuis un bon moment et je ne pense pas que ce genre de sentiments ressurgissent en moi un jour.

Pour répondre à ta question, non je ne ris pas. C’est ce que je pense. Pour moi c’est un spectacle qui ne me fais ni chaud ni froid.

Peu sont ceux qui ont continué de m’apprécier après la découverte de cette facette de ma personnalité. Certains se mettent en tête de me sauver ou une débilité dans le style. Ils peuvent toujours essayer, au moins ma vie est moins monotone et j’arrive quelque fois à rire de bon cœur mais on ne peut pas changer comme ça. Chasser le naturel et il revient au galop comme on dit.

Ne t’en fais pas. Dès que ces idiots l’auront bien amoché je les enverrais tout les quatre aux enfers si ce n’est pas déjà fait pour le pot de peinture. Ils seront enfin confronté à un juge digne de ce nom et regretteront jusqu’à leur naissance.
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MessageSujet: Re: Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]   Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah] EmptyMar 30 Mai - 19:29


Crise d'antipathie
Azaliah et Cassiopée


Un frisson me parcourt l’échine. La fille d’Hadès scrute la scène avec un sourire peu rassurant sur les lèvres. Je n’arrive toujours pas à comprendre comment on peut s’amuser des malheurs des autres. Elle donne l’impression d’être en train de mater une simple pièce de théâtre alors que j’ai la chair de poule et que j’ai envie de gerber en pensant à cette pauvre fille. Tu sais Blondie, le monde n’est pas toujours tout rose et il faudrait que tu te rendes compte que c’est pareil pour tout le monde. Mes poings se serrent au point où mes ongles blessent mes paumes. J’entends les pensées d’un des hommes et mon cœur bat la chamade. Je sais très exactement ce qu’il veut faire d’elle et la peur me tiraille les entrailles. Puis, il y a Azaliah et sa crise d’antipathie. Elle me dit que ce spectacle ne lui fait ni chaud ni froid. Elle aussi, elle me donne envie de gerber. J’osais croire qu’elle pouvait avoir un semblant d’humanité avant de la rencontrer ce soir. Je n’y crois plus. J’ai envie de lui balancer des vacheries mais je me retiens. Ce n’est pas le temps. Je dois aider cette fille. Malheureusement, cela concerne autant l’inconnue que la demi-déesse. Elle doit en avoir bavée pour penser ainsi. Contrairement à ce que tu penses, je sais parfaitement que la vie peut être une vraie salope. Ça ne veut pas dire que j’en souhaite tout autant pour les autres. Faut que tu te bouges. Tu peux pas savoir ce que ces mecs lui réservent mais moi oui. Et je peux te dire que personne ne mérite ça. Même pas toi.

Je garde un œil sur la scène pour m’assurer que tout va bien. Les mecs se contentent de déblatérer des vulgarités pour le moment. Ne t’en fais pas. Dès que ces idiots l’auront amoché je les enverrais tous les quatre aux enfers si ce n’est pas déjà fait pour le pot de peinture. Ils seront enfin confrontés à un juge digne de ce nom et regretteront jusqu’à leur naissance. J’hoche négativement la tête. Il faut croire que certaines personnes ne peuvent pas être récupérées. Mon petit frère n’en veut pas à la vie, lui. On lui arrache à petit feu sa vitalité et il reste bienveillant, drôle et persévérant. Au contraire, Azaliah se laisse bouffer par la rancœur qui l’habite et ça c’est mauvais, très mauvais. Je croyais que tu valais mieux que ça. De toute évidence, je me suis trompée. Félicitation, t’es la caricature parfaite de la fille d’Hadès. Ma main se pose sur mon épée en or impérial, Samaël. Fais ce que tu veux. J’y vais avec ou sans toi. J’hoche les épaules Je m’engouffre dans la noirceur de la nuit. À grands pas, je réduis la distance qui me sépare de ces connards et brandis Samaël fièrement en espérant que mes entraînements avec Skyra m’auront assez appris pour que je gagne ce combat. Dans tous les cas, j’aurais respecté mes valeurs. C’est le principal. Alors, les gars, on s’amuse bien? À peine ont-ils le temps de se tourner que j’ai déjà asséné un coup bien senti dans l’estomac d’un grand brun avec le plat de mon épée. Je déteste la violence, mais il faut croire qu’elle est nécessaire dans certaines situations. Un coup de pied à l’intérieur de sa jambe droite et le voilà à genoux. Je l’attrape et le piège entre mon corps et mon épée. Avec la brume, je dois avoir l’air d’une blondinette avec une épée en mousse, mais ils riront moins quand le sang coulera. Laissez-là tranquille.

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MessageSujet: Re: Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah]   Crise d'antipathie [Cassie-Azaliah] EmptyDim 11 Juin - 12:27

Je vois les poings de la jolie blonde se serrés, apercevant même ses ongles rentrés dans ses paumes et les blessées. Je dois l’avoir énervée. Tant pis. Elle semble à la fois effrayée et énervée, puis réfléchis. Quesqu’il peut bien se passer dans sa petite tête de blonde bien trop gentille ? Croire en la bonté du monde, et puis quoi encore ? Rien que le spectacle devant elle devrait lui faire comprendre qu’il n’y a plus rien à tirer de personne et que ses illusions d’un monde parfait tout beau tout rose ne devrait même pas avoir vue le jour.

Contrairement à ce que tu penses, je sais parfaitement que la vie peut être une vraie salope. Ça ne veut pas dire que j’en souhaite tout autant pour les autres. Faut que tu te bouges. Tu peux pas savoir ce que ces mecs lui réservent mais moi oui. Et je peux te dire que personne ne mérite ça. Même pas toi.

Je me retiens d’éclater de rire, ça serait dommage d’attirer l’attention des agresseurs vers nous alors qu’il ne s’est encore rien passé de bien palpitant. Contrairement à ce qu’elle pensait, j’avais bien une petite idée de ce que ces idiots réservaient pour le pot de peinture, ça ne me réjouissais que d’avantage. Qu’ils la fassent donc crier, pleurer et même supplier, ma soirée n’en sera que plus réussie.

Faut que tu saches Blondie que la douleur et la peur que cette fille va ressentir, ce n’est que ce qu’elle a cherché. C’est juste le karma si tu préfères.

La fille d’Hermès regarde la scène sans tenter quoi que ce soit. Après tout, il n’y a que des insultes qui fusent pour le moment. Ca ne va pas assez vite à mon goût, je n’ai pas que ça à faire. Si ils ne se dépêchent pas d’aller au bout de leurs idées je n’aurais plus qu’à la torturer moi-même. Je soupire.
Blondie tente de me faire une leçon de moral en me disant que je suis la parfaite caricature de la fille d’Hadès. Quesqu’elle en sait de toute façon. Oh bien sûr ça me blesse qu’elle me traite de ça, mais bon, je suis née avec du sang sur mes mains après tout. J’ai appris à vivre comme ça, ce n’est pas une Barbie vivant dans le monde des Bisounours qui va me faire changer avec quelques petites phrases. Elle pose sa main sur son épée et me dit qu’elle va y aller avec ou sans moi. Qu’elle essaie donc, le spectacle n’en sera que des lus amusant.
Blondie passe en mode Barbie sauveuse de la veuve et de l’orphelin et leur donne quelques coups assez bien placés, je dois l’admettre. De ce que j’ai compris elle s’entraîne avec Skyra. Il y a ça aussi que je ne comprends pas : pourquoi on me déteste moi et pas cette romaine aussi antipathique que moi ? Tout ça parce que sont papa est le grand Zeus et que j’ai eut le malheur d’avoir le souverain des Enfers pour paternel. Barbie guerrière finit par leur ordonnez de la laisser tranquille, mais les deux idiots n’en sont juste que plus énervés.
Je sors de l’ombre et m’approche avec un sourire peu rassurants sur les lèvres et en applaudissant légèrement. Je jette un œil à la scène et relève mes yeux vers Blondie.

Et bien alors, quesque tu attends. Tu n’as qu’à les tuer et tout sera régler. Oh bien sûr tu peux encore te la jouer gentille, mais qui dit qu’ils ne recommenceront pas dans quelques semaines, quelques jours, voir quelques heures. Les mortels sont des profonds imbéciles qui n’apprennent jamais de leurs erreurs. Ne te met pas à leur niveaux, je suis sûr que tu vaux bien mieux que ça.
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