| Sujet: Phil Froward ~ l'enfant de la forge Mer 18 Fév - 10:17 | |
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Hélidor "Phil" Froward « Être heureux, c'est se savoir beau dans le regard des autres » Nom • Froward Prénom(s) • Hélidor Philippe Surnoms • Phil ; l'appeller Hélidor ne lui rappelle que de mauvais souvenirs... Date de naissance • 27/03/1985 Âge • 25 ans Lieu de naissance • Detroit, Michigan Origine • Américain Années passé dans votre camp • dix ans Statut social • grand célibataire Orientation sexuelle • il ne s'est jamais vraiment intéressé aux filles, elles sont plus des amies pour lui Avatar • Derek Theler Crédit • Hithyaël | Parent divin • Hephaïstos Pouvoir (un seul) • Compréhension intuitive : Lorsqu'il se met à réparer, fabriquer ou modifier des objets ou mécanismes, c'est comme si un schéma en trois dimensions apparaissait devant lui, il lui suffit alors de suivre la notice. Arme et objet magique (une arme et un objet ou deux armes) • Il possède un lourd marteau de bronze céleste qu'il a lui même forgé avec amour ainsi qu'un cube qui tient dans sa grande main. Sur les faces sont incrustés des écritures en grec ancien et il a un mécanisme extrêmement complexe mêlé à de la magie. Son père lui a offert avant que la deuxième guerre n'éclate et il peut s'apparenter à un gadget multifonctions. En effet, il peut décrypter des codes, crocheter des serrures complexes, s'illuminer pour servir de lampe-torche, pirater des systèmes électroniques et se changer en boîte à outils. Par contre il ne peut être utilisé qu'une fois toutes les vingt-quatre heures et ce, durant une période de cinq minutes. Camp choisi • Grec Rêve d'avenir • Lorsqu'il était enfant, il voulait devenir le plus grand ingénieur qu'on est vu au monde, mais tout cela remonte à fort longtemps et maintenant, il ne sait plus trop ce qu'il veut faire de sa vie. |
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..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS.. S'il te fallait quelques adjectifs pour décrire ta vie, tu en donnerai trois ; triste, dangereuse et effroyable. Tu n'as jamais voulu d'une vie comme celle-ci, mais tu n'as pas le choix, car tu sais que le destin choisi à ta place et que quelque soit tes décisions, tu ne pourras jamais vivre comme n'importe quel mortel. Car être un demi-dieu, c'est vivre selon ce que les Dieux ont décidé. Néanmoins, tu ne t'en ai jamais plaint, car tu sais qu'à côté, tu t'ai fait des amis fidèles qui t'ont accompagnés avec amour jusqu'à ta mort. Alors, allongé ; là, près d'eux, tu revois ton existence défiler devant tes yeux tandis que tes proches te pleurent et que, paisiblement, tu expires ta dernière bouffée de vie.
Tu t'appelles Hélidor Philippe Froward, un nom bien étrange et original que tes parents t'ont donné là. Ta mère t'as mis au jour dans une petite maison délabrée dans la ville de Detroit au Michigan. Quand tu es sorti de son ventre, elle avait mal, mais cela en valait la peine, car tu étais son petit rayon de soleil ; tu étais le moteur qui a refait marcher les rouages de sa volonté de vivre après le départ de ton père que tu n'as jamais connu, et qu'elle aimait tant. Enfant, tu as été diagnostiqué très tôt de dyslexie et d'hyperactivité. Tu adorais regarder ta mère construire des prototypes de robots dans son atelier, ou réparer les voitures de ses amies. Elle a toujours été un modèle pour toi. Elle souriait sans arrêt et t'avais appris ce qu'était que la gentillesse et la générosité, notions qui se perdaient avec le temps selon elle. Et puis, à tes six ans, tu es parti à l'école. Tu étais enthousiaste, mais quand les autres enfants t’ont vu, ils se sont mis à se moquer de toi. Tu étais le petit gros de la classe, celui qui mangeait tout le temps et qui était incapable de lire ou de faire des calculs. Plus tard, en sixième, tu étais encore le petit garçon aux problèmes de poids. Tu étais timide et tu n'avais pas d'amis. Pour t'occuper, tu as décidé de faire comme ta mère et tu t'es mis à travailler la technologie et les travaux manuels. Quand tu regardais des objets, des choses commençaient à apparaître, comme un plan qui apparaissait devant toi et t'indiquait comment procéder ! C'était magique ! Et bientôt, tu es devenu un vrai petit génie. Ta mère était très impressionnée, mais un jour alors que tu fabriquais le prototype d'une fusée à vapeur, ta mère est venue vers toi. Une ride était apparue entre ses sourcils et tu savais que lorsqu'elle faisait cette tête c'était que tu avais fait quelque chose de mal. - Mon chéri, tu sais, je suis très fière de toi, te dit-elle avec tendresse, et je sais que tu adores la mécanique, tout comme ton père et moi. Mais... elle fronça les sourcils, tu dois arrêter de fabriquer des choses mon chéri. Tu n'en revenais pas. Ta propre mère t'empêchais de continuer ta passion ! Alors que c'était la seule chose qui t'avais vraiment intéressé ! Très vite, la tension grimpa d'un cran ; tu ne savais pas pourquoi ta mère réagissait comme ça. Elle t'as crié que c'était pour ta protection et qu'elle ne pouvait pas t'en dire plus. Alors, rouge de rage, tu es allé asseoir ton gros popotin sur ton lit dur en fermant la porte de ta chambre à clé et tu as pleuré.
Aujourd'hui, c'est ton anniversaire, tu as quinze ans et en face de toi, les bougies attendent d'être soufflées. Ta mère est debout, la main sur ton épaule, le sourire aux lèvres. Ce soir, Dave est sorti pour vous laisser tout les deux. Dave Van Wooden est un homme suintant la transpiration et l'alcool. Tu t'es toujours demandé pourquoi ta mère s'était mise avec lui. Ce type était affreusement sale. Oh, il lui arrivait d'être très gentil bien sûr ; quand il était sobre ! Ce qui n'était pas souvent le cas. Tu prend une longue inspiration et tu fais un vœux, puis tu souffles sur tes bougies qui s'éteignent toutes en un coup. Tu as demandé à avoir une vie toujours meilleure. Au lycée, ta quote a largement augmentée. Fini le petit gros boutonneux du collège ! En à peine une année, tu avais pris plus de quinze centimètres, ta silhouette avait prit en muscle et perdu en graisse et ton visage avait commencé à s'embellir. Maintenant, tu étais le garçon le plus beau de toute l'école après Austin Jensen. En tout cas, c'est ce que disaient les filles. Cela te flattait bien sûr, mais tu ne te sentais pas à ta place. Plus les années avaient passées, et plus tu avais la sensation d'être différent ; de ne pas tout à fait appartenir à ce monde. Plus depuis que la seule chose que tu aimais dans la vie t'étais interdit et puni par ta mère. Depuis quelques temps, tu vois des choses étranges autour de toi, comme cet homme dans la rue, pendant un instant tu l'as vu avec des cornes et une queue de reptile avant qu'il ne redevienne normal. Et puis, tu ne rentre plus à pied chez toi maintenant. Tu aimais bien marcher pour venir à la maison, mais maintenant, tu as constamment l'impression d'être suivi et d'être observé. Ça te fout de ces jetons ! Après avoir mangé le gâteau, tu es allé te coucher. Et te voilà dans ton lit, fermant les yeux, sans savoir que dans à peine deux heures, ta vie sera changée à jamais... Tu dors quand ta mère te secoue brusquement. Elle avait le regard fou et elle te parle très rapidement comme si elle était pressée. Suivant ses ordres, tu vas t'habiller en vitesse et mettre ton blouson et tu prends le sac qu'elle te tends, confus. Elle commençait à te faire très peur. Puis le sol s'est mit à trembler, de la fumée commença à s'élever de la cuisine. Cette fois, tu t'es mit à avoir vraiment les jetons ! - Maman, qu'est-ce qui se passe ! Ta mère s'avance. Tu fais bien une tête de plus qu'elle maintenant. Elle tend sa main vers ta joue et la caresse avec douceur tandis que la maison tremble avec force. Mais elle reste là, parfaitement calme et elle te souris tristement. - Tu ressembles tellement à ton père... Ces paroles te laissent sans voix. Alors, elle se met sur la pointe des pieds et te baise le front comme si elle te disait au revoir. Des larmes coulent sur ses joues quand elle te met à la porte. - Maintenant pars ! - Quoi ?!! Maman, tu... - Pars ! te crie-t-elle, sur le champs ! La maison se met à vibrer comme pour appuyer ses paroles. Alors tu t'éloignes, mais tu ne pars pas. Les fondations de la maison s’effondrent, libérant un nuage de poussière tandis que de grandes fissures se mettent à parcourir le sol. Tu recules, étouffant, puis tu vois ta mère une dernière fois qui te souris en bougeant les lèvres ; "je t'aime". Et la maison s’affaisse avec un horrible bruit sonore. Il n'y a plus rien. Toute une vie réduite en cendres en quelques secondes...
Quand ta maison s'était écroulée avec ta mère quelques jours auparavant, tu avais couru pour échapper aux créatures étranges sorties tout droit des légendes de l'antiquité qui te poursuivaient. Dans ton sac, ta mère avait mit une centaine de dollars, quelques sandwichs et une lettre dans laquelle elle t'avais tout raconté. Tu étais le fils d'un dieu et tu devais impérativement rejoindre New York dans les plus brefs délais si tu ne voulais pas périr dans d'atroces souffrances. Bonnes nouvelles n'est-ce pas ? Une fois à New York, tu avais croisé un homme petit qui boitait et qui portait une casquette. Il était venu se présenter à toi comme étant un protecteur, un satyre de la colonie des sangs-mêlés et qu'il te conduirait en lieu sûr. Et en cet instant, là, allongé sur l'herbe humidifiée par la pluie qui te bat les joues, il ne reste plus que toi et la créature hideuse qui se dresse de toute sa hauteur, menaçante. Ta jambe te fais terriblement mal et tu sais que c'est la fin. Tu sais que tu vas mourir en étant devenu taré tellement tout ce qui t'es arrivé est irréel et incroyable ! Tu entends quelques bruits, puis c'est le silence. En relevant la tête, tu aperçois vaguement un tas de poussière à tes pieds et une silhouette qui te soulève, puis, transpercé par la douleur, c'est le noir total...
Te voilà dans la forge, un tablier sur le dos, transpirant à grosse gouttes sous la chaleur des braises. Tu aimes cette ambiance. Quand tu n'es pas d'humeur à festoyer ou à voir du monde, tu viens te réfugier ici, comme beaucoup de tes demi frères et sœurs. Au moins, tu peux ruminer tes pensées tranquillement tout en faisant travailler tes muscles et ton cerveau. Dans trois jours, tu auras vingt-cinq ans. Déjà ! A présent, tu feras parti d'un des plus âgé de la colonie. Beaucoup de choses se sont passées en dix ans. Tu y as trouvé ta place et personne n'a rien à redire. Tu t'es fait des amis très cher, de même que des rivaux exécrables ! En somme, tu attend patiemment dans la bulle protectrice de ton nouveau foyer qui t'as accueilli à bras ouverts. N'est-ce pas merveilleux la vie ? Du moins le croyais-tu. Avant que tout ne commence à dégénérer ici bas... |
Ton prénom ou surnom • Hithyaël ; bizarre ? Non ; original ! Ton âge • 17 ans dans un mois !! Que penses-tu du forum ? • Géniiiialissime ! T'es arrivé là comment ? • En cherchant dans l'annuaire ;p Code règlement • Héphaïstos Pédoncule Froissé Un dernier mot Jean-Pierre ? • J'aime les liiiicornes !!! CODES BY RAINBOWSMILE
Dernière édition par Hélidor P. Froward le Mer 18 Fév - 19:18, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Phil Froward ~ l'enfant de la forge Mer 18 Fév - 15:51 | |
| C'est moi qui suis en charge de ta fiche j'ai juste deux petites choses avant de pouvoir valider : Est-ce que tu pourrais me donner des indications sur ton objet, je n’ai pas saisi à quoi il servait, à quel point il peut être puissant, enfin un peu plus de détails dessus, histoire de voir si c’est acceptable ou pas comme objet. Et juste pour l’histoire, j’aimerais quelques détails sur la mort de sa mère comment ça s’est produit, sur sa fuite et comment il est arrivé dans le coin de la colonie. Parce que s’il vient de Detroit et qu’il va jusqu’à Montauk, c’est un peu compliqué par hasard. Libre à toi d’ajouter un Satyre qu’il croise sur la route ou des indications de sa mère pour rejoindre la colonie. Et après ce sera bon |
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| Sujet: Re: Phil Froward ~ l'enfant de la forge Mer 18 Fév - 16:05 | |
| Très bien, je m'en vais modifier tout ça Quand au cube, il est en fait censé agir comme une sorte de gadget multi-fonction ; il peut décrypter des codes, crocheter des serrures complexes, s'illuminer pour servir de lampe-torche, pirater des systèmes électroniques et se changer en boîte à outils. Par contre il ne peut utiliser le cube qu'une fois toutes les vingt-quatre heures et ce, durant une période de cinq minutes. Dois-je l'ajouter dans sa description ? |
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