| Sujet: uppercut violent d'un cœur tendre. Viktor Voliakov Sam 28 Mar - 1:54 | |
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Viktor Voliakov « uppercut violent d'un cœur tendre » Nom • Voliakov Prénom(s) • Viktor Surnom • Vi Date de naissance • 29 Décembre Âge • 35 ans Lieu de naissance • Saratov Origine • Russe Années passé dans votre camp • 19 ans Statut social • Indéfini Orientation sexuelle • hétérosexuel Avatar • Jude Law Crédit • | Parent divin • Arès Pouvoir ( un seul) • Déviation Arme et objet magique (une arme et un objet ou deux armes et pas d'objet) • Deux Poings Américains Camp choisi • Grec Rêve d'avenir • Détruire tout ce qui nuit à sa nouvelle famille et, plus largement, aux grecs du camp. Particularités (tic, manies, signes distinctifs, peur) • toujours le sourire aux lèvres (sauf quand il devient sérieux), légère manie à faire craquer ses phalanges. Appelle tous les plus jeune avec qui il n'a pas de rapports particuliers "gamin" |
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..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS.. Mon histoire ? Pas sur que ça t’intéresse gamin, ça remonte à loin tu sais. Il y a longtemps, une trentaine d’années peut-être, dans le grand froid d’un hiver rude en Russie, une femme de bonne famille (noble sans doute) donnait naissance à ce qu’elle n’avait jamais voulu porter. Allongée dans la neige, elle maudissait le ciel du maléfice qu’il lui avait jeté, de cet enfant illégitime qu’elle avait porté, né d’une petite aventure sans envergure avec un homme simple comme il en existe des milliers. Elle devait cacher l’enfant, car elle ne put se résoudre à le tuer, ni même à l’abandonner dans le froid. Elle le ramena, prétextant l’avoir trouvé sur son palier de porte. Naturellement, les éclats de sa « bonté » embellirent le nom de sa famille, mais l’histoire ne fut pas heureuse pour tout le monde. Le jeune garçon grandit, années après années, dans la solitude et l’absence d’amour de ses « parents ». Mais vois tu, gamin, le jeune enfant ne se sentait jamais seul, il rêvait, fabulait sur les sentiments de ses parents envers lui. Il était fier de cet homme appelé père, auquel il ne put jamais adresser un seul mot, et de cette mère qui le fuyait comme la peste. Oui, on peut le dire, il était plutôt simplet, plus même, il était inconditionnellement heureux. L’âge avançant, il entra à l’école à ses trois ans. C’est à cette époque que l’imbécile heureux perdit le sourire, et devint plus livide, il perdit le peut de choses auxquelles il s’était toujours raccroché, il était comme l’ombre d’un fantôme, pâle et faible. « Sale gosse de riche ! », « idi nia houille !», tout cela était une rengaine journalière, devenue routinière, quand ce n’était pas un passage à tabac de la part de ses propres camarades. Les coups ne lui faisaient plus mal à force, et il ne se défendait jamais. Lassé de revoir ce peureux rentrer tous les soirs plus en lambeaux, le père se décida à l’inscrire a quelques cours de self-défense, seul et unique geste qu’il eut fait pour lui. Alors l’enfant opta pour la boxe. Les progrès ne furent pas fulgurants, la force du chétif garçonnet était risible. Seule sa hargne le poussait à continuer. Lui qui avait maintenant compris le désintérêt de ses parents, voulait au moins les rendre un peu fier de lui, et ce n’était pas par l’enseignement qu’il y parviendrait, car il était de plus analphabète. Ce n’est que vers ses cinq ans qu’il remarqua que les coups qu’il prenait se faisaient de plus en plus rares. Non pas qu’il se fut meilleur en esquive d’un seul coup, mais que les frappes adverses ne l’atteignaient plus, elles étaient comme déviées par un voile invisible. Les ouvertures dans la défense adverse lui parurent bien plus flagrantes, il en tira un immense avantage. Bien qu’il ne contrôlait pas parfaitement cette « magie », il parvint à se faire un petit nom en temps que boxeur grâce à elle. Le garçon chétif était devenu un homme fort, capable de se défendre. Il s’épanouissait dans ce sport, qui lui permettait d’évacuer toute forme de rage, de stress et de tracas. Un jour cependant, à la suite d’un match de qualification remporté haut-la-main, son adversaire, énervé par son inexplicable défaite, le poignarda dans le dos. La lame passa à deux centimètres du rachis dorsal, ce qui permit d’éviter l’handicap a vie, mais de justesse. Toute activité professionnelle de haut niveau lui était désormais interdite. Il prit alors conscience de deux choses, la première étant la limite de son don : il ne peut éviter ce qu’il ne voit pas, et la seconde est l’aversion inconditionnelle qu’il s’était mis à nourrir envers toute forme d’arme, surtout les lames. La vue d’une de ces choses lui fait perdre son sang froid, il devient rapidement irraisonnable. L’agression fut très vite réglée, le coupable fut puni, mais le jeune homme ne retrouva jamais plus le plaisir de se battre comme avant. Son « père » enterra la polémique autour du sujet en dénonçant la faute de son « fils », qu’il appelait désormais « l’autre », lui reprochant une triche abusive dans l’espoir de devenir quelque chose d’autre qu’un déchet. C’en fut trop pour le jeune homme, qui s’enfuit en laissant tout derrière lui. La vie devint dure sans foyer, les nuits à la belle étoile ne réchauffaient ni son corps ni son cœur. Il se rappelait ainsi ses longues soirées de solitude étant enfant, l’imbécile heureux ne l’avait peut-être pas quitté finalement ? Tu vois gamin, l’histoire aurait pu se finir comme ça, sur une fin plus ou moins banale, mais les autres enflures sorti de vieille mythologie on pas voulu me laisser la paix que j’avais finalement réussie à trouver. La première venue m’emmerder était une harpie. Elle m’avait collé de ces jetons, je ne pense pas avoir couru aussi vite de toute ma vie. J’ai fini par être coincé, acculé dans une impasse. J’ai du me retourner et regarder la créature s’avancer vers moi, et j’aurai de tout cœur voulu lui faire face, mais je ne tenais plus debout tant je tremblais. C’est alors que, sorti de nulle part, une autre créature humanoïde mi-bouc s’interposa entre la harpie et moi. La suite reste floue, mais ce dont je suis absolument certain, c’est que je ne rêvais pas. La suite fut très dure à avaler. Moi, un demi-dieu ? C’en était tellement risible que j’ai éclaté d’un rire profond et sincère, le plus chaleureux que je n’ai jamais fait, et le premier aussi. J’étais heureux, il me restait donc une personne sur qui je pouvais compter depuis tout ce temps ? C’était dur à croire, mais je préférais nettement ce choix de vie à ma misère de l’époque. C’est ainsi que j’ai rejoins le campement grec en Amérique. Tu vois, j’ai aujourd’hui 35 ans, ça fait belles lurettes que je suis ici, et je m’y sens bien. J’ai des amis, des camarades. J’ai enfin une famille.
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Ton prénom ou surnom • Virgile, abrégé Vi Ton âge • 17 balais et des poussières Que penses-tu du forum ? • Mais c'est que c'est beau tout ça !!! : 3 T'es arrivé là comment ? • Les top-sites!!! Code règlement • Violence Vaine Un dernier mot Jean-Pierre ? • mot ? CODES BY RAINBOWSMILE
Dernière édition par Viktor Voliakov le Dim 29 Mar - 23:22, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: uppercut violent d'un cœur tendre. Viktor Voliakov Sam 28 Mar - 10:02 | |
| Viktor Félicitation, tu viens d'être validé avec les honneurs du jury. A présent tu peux venir faire la fiesta avec tout le monde. Franchement chapeau, je trouve la psychologie de ton loulou hyper intéressante, c'est pas le guerrier sans peur et sans reproche, il tombe et ne se relève pas tout de suite, c'est cool ça . Bon sinon navré de te dire ça mais mec... tes parents sont pas des gens bien, je t'adopte moi oui même si t'es plus vieux que moi et que tu peux être mon père. Puis je ferais des papouilles à ton dos que l'autre naze a poignardé. J'ai rien de plus à dire c'est niquel chrome pour moi. En plus voilà quoi Jude Law Bienvenue dans la famille msieur Viktor <3 Cependant il y a quelques petits détails presque rien à régler, une formalité disons le: Ici tu pourras réserver ton avatar, et oui ce serait bête qu'on te le pique. Ici tu pourras réserver ton prénom et nom de famille parce que tu es unique après tout Pour te faire des amis, des ennemis ou tout simplement avoir des liens c'est ici Là c'est pour faire des rps avec tous pleins de monde Et ici c'est pour que les admins t'aiment, pour que le forum t'aime et pour avoir pleins de nouveaux amis-ennemis |
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| Sujet: Re: uppercut violent d'un cœur tendre. Viktor Voliakov Sam 28 Mar - 10:21 | |
| Yay plus gentil et mignon tu meurs !!! Merci beaucoup :3 c'était l'idée générale que je voulais faire ressentir sur lui, une sorte de "papa" de transition prêt à tout pour protéger ceux qu'il aime même s'il n'est pas invincible et tout-puissant :) Merci beaucoup Mlle Lily-Rose, j'ai déjà plein d'amour pour toi ! ( les papouilles c'est quand tu veux !!! <3) |
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| Sujet: Re: uppercut violent d'un cœur tendre. Viktor Voliakov | |
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