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 It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William]

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MessageSujet: It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William]   It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William] EmptyDim 16 Nov - 0:02

It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William] Tumblr_mvc4tjFisv1sq0x6uo3_250It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William] Tumblr_mvc4tjFisv1sq0x6uo2_250

Journée de merde. Je me rappelle mon père quand on rigolait après une journée qui était à mourir tellement que tout allait de travers. On dit que les gens dans ces cas se sont levés du pied gauche. Je vous jure que le matin je mettais lever du pied droit. Je ne comprends pas. Ensuite, j’ai pris un petit déjeuner… Bon la tartine m’est tombée dessus. Je me suis changé. Comme il pleuvait dehors… J’ai fini trempé de la tête au pied. Sérieux, cela n’avait été une journée glorieuse. Aujourd’hui, j’avais l’impression de revivre une journée où j’aurais mieux fait de rester dans mon lit. Je vous raconte ce qu’il s’est passé. Premièrement, je me suis levée de mon lit, enfin... Étant fatiguée, je n’avais aucune envie de sortir de mon lit. J’avais l’impression d’être sur mon petit nuage, mais mon demi-frère m’a sorti du lit en renversant le lit. Cette brute, je suis sûr qu’il a du sang d’Arès. Non, sérieux quoi ! Il fallait cueillir les fraises. Est-ce que vous trouvez que c’est une bonne raison pour sortir du lit ? Vous saviez pour la vente à New York. Il me cria dessus que ça n’allait pas se faire tout seul. Il ne pouvait pas le faire ? Non, Monsieur devait s’occuper de surveiller les avancées d’un champ. Un gros baratinage pour finalement dire qu’il n’allait pas se bouger. J’avais qu’une seule envie. C’était me rendre chez Skyler pour me mettre avec elle dans le lit et discuter de ce qui venait de se passer. Mais je ne pouvais pas… Cela me rendit désagréable. Je me rendis au réfectoire pour manger et me plaindre du tyran aux autres. Ce fut une discussion animée et approuvée à l’unanimité que c’était un tyran. Je me rendis ensuite au champ pour les cueillir ces fraises. Vous pouvez imaginer une chaîne où on répète les mêmes actions tout le temps. On se baisse. On rama pour remplir le panier. On se lève. On se déplace plus loin. Et on recommence. Toute une matinée, une longue matinée à faire que ça. À midi, je me suis échappée pour aller manger un truc à manger et me reposer par la même occasion. Avec mes yeux de lynx, je remarquais que William était dans la colonie un moment. Je me perdis à le contempler de loin. Vous savez comme un adolescent timide qui ne peut rien faire. Le nombre de fois que j’aurais pu aller vers lui pour lui dire à quel point j’aime sa façon d’être. Oh purée, je me rendis compte que je partais trop loin. Une amie me donna un coup de coude en me soulignant.

- Oh princesse reviens sur terre. Il ne va pas venir sur un cheval blanc, tu sais.
- Laisse là rêver. Tu sais très bien, qu’elle soit incapable de rester deux secondes dans la même pièce que lui ou d’aligner deux mots.
- Ah non, je ne suis pas d’accord. Quand elle boit avec les Dionysos, elle est pire qu’une radio. Elle ne peut pas s’arrêter.
- Après ce court intermède, la météo sera assez ensoleillée. Suivis de dure négociation pour la vente de nos fraises.

Et tout le monde rigolait. J’avais fini le débat et dérivé la conversation de William. Quand mon regard le rechercha, il n’était déjà plus dans les environs. Je pense que c’était mieux pour moi. Je ne pouvais jamais réfléchir quand il était trop prêt. C’était plus fort que moi. Je me sentais attirer par lui depuis le début comme un aimant. Heureusement que j’arrivais à partir en rampant. Je n’avais pas cédé jusqu’à maintenant. C’était déjà ça. Je ne craquerais pas pour le moment. C’était hors de question. En plus, il n’était pas du tout dans ma portée. En plus, c’était le cousin de Skyler. Je ne pouvais pas. Enfin…. Reste concentrer O’Hara : « Tête haute et reconnexion à la conversation de groupe ! ». Tout se passa bien. Je rejoignis la personne qui s’occupait à faire l’exportation des fraises pour New York. Il commença directement à partir en vrille comme quoi. Elle n’était pas trop bien. Il ne savait que se plaindre. Une engueulade entre une fille de Démèter (c’est moi les gens oui…), un satyre et un enfant d’Hermès, je vous laisse imaginer le tableau. À mourir de rire…. Au final, je commençais à me fatiguer pour rien. La terre sous mes pieds commençait à pourrir. Ce n’était vraiment pas la peine de rester. Pourquoi j’avais un pouvoir avec cette végétation !?! Je pris un panier en le donnant… enfin en le lançant dans la tête du fils d’Hermès. Il me gonflait. Je croissais plus tard le tyran du bungalow ! Non, ce n’était pas terminé. Il commença une tirade sur mon attitude, sur le fait que j’étais un poil susceptible ! QUOI ! Je lui donnai une baffe en lui balançant un : «  Voilà ce qu’elle te dit la susceptible ». Je commençais à partir en regardant le tyran qui comprit qu’il ne fallait pas pousser. J’avais un pouvoir et pas lui. Il pouvait toujours venir. Il savait très bien qui aurait le dernier mot dans ce genre de situation. Quand j’analysai le chemin qui se trouvait de moi, ce fut en percutant une personne. J’étais à deux doigts de me plaindre et d’injurier la personne. Quand mon regard se dirigea sur lui… Ma bouche s’ouvrit sans dire un mot. Avec une dure concentration, je rouvris la bouche pour lui dire.

- Ah William.

Oh mon dieu, tu es bête. Je secouais légèrement ma tête. Fallait avoir un peu de jugeote. Il fallait que je sois normale. Il était une bouchée d’aire fraîche. Il fallait que je parle. Parle. PARLE.

- Je… suis désolée. Vraiment. Il… m’a énervée enfin depuis ce matin. Ça fait plus de 10 ans que je suis là…. Et ils font toujours ramasser les fraises pour finalement faire en sorte de m’engueuler parce que les fraises ne sont pas top.

Ah mon dieu, je lui étais rentré dedans. Mon cerveau difonctionnait à ce moment précis. Je ne me rendis pas compte que mes mains étaient restées contre lui, enfin sur son torse. Je ne mettais pas du tout écarter. Fallait que je redescende sur terre. Je semblais plus secouer qu’autre chose. Je ne venais pas de faire un accident. J’allais bien. C’était juste le fait d’être là en face de lui. Fallait que je me reprenne.
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MessageSujet: Re: It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William]   It's not my day. You can understand. Please, do something. [Pv William] EmptyDim 16 Nov - 0:50




Raven & Willy
Quelque soit les caprices du destin.



" Ah mais ta gueule ! "

Projectile non identifié en provenance d’une table de nuit à destination du mur en face. Veillez tous à  garder vos têtes sur vos oreillers. Monsieur Will n’est pas du tout motivé pour se réveiller. Ce n’est pas tant l’histoire de ce putain de réveil plutôt qu’au lieu d’avoir une douce et harmonieuse mélodie, il crachote et ce n’est pas forcément des plus agréables. Ah mais la durée de vie d’un réveil ça doit atteindre les quatre ans, William connaissait la jeune fille parfaite pour réparer ce genre de choses. Mais comment expliquer ça clairement, s’il était le dernier gars sur terre, il ne la sauterait même pas pour permettre à l’espèce humaine d’être préserver. Ahem, ok rectification, si Keystone était capable de changer un peu et d’avoir ce truc dans la poitrine communément appelé cœur et qui permet d’avoir des émotions, oui le truc que toute personne dans ce monde possède. Peut-être que ça fonctionnerait, d’ici là, pas question d’aller demander à la plus insupportable de toutes les gamines au monde si elle daignait bien poser un regard sur le réveil pour le réparer. Pourtant, aux vues des regards assassins des frères et sœurs, William se redressa dans son lit avec une expression de peine immense, travaillé depuis des années avec Jake, ce qui faisait toujours son petit effet et c’est en des termes plus faux cul que jamais qu’il s’exprima.

" Je voulais pas vous réveiller. "

Non c’est vrai que s’ils dormaient tous, tant mieux pour eux, mais il n’allait pas s’empêcher de balancer un réveil sous prétexte que le camp des sangs mêlés prone la communauté. Non mais au bout d’un moment, faut pas se mentir, les dieux ont pas mis énormément de leur fortune personnelle pour créer cet endroit. Résultat, il y a des caractères qui ne collent pas, même les gamins humains normaux choisissent avec qui ils veulent dormir. Là pas du tout, cette grosse blague c’est en fonction de qui à sauter ton parent mortel. William ne voyait pas en quoi ça devait les lier. Non mais à la limite, excepté certaines fois, il s’entendait quand même mieux avec sa cousine par adoption qu’avec des enfants de Dionysos porté sur la boisson. Mieux que ça, quitte à choisir quelqu’un avec qui passer les nuits, il voterait pour Jake. L’amitié étant bien plus importante que les liens bizarres dus à des dieux, youpi! Sans oublier que lui, il avait quand même une vrai sœur possédant son adn, une sœur complètement enfermés dans sa vie d’adoption et qui refusait clairement d’entendre parler de lui. Mais Willy ce n’était pas la personne la plus compréhensive au monde, oulah surtout avec les filles, merci Charlie d’avoir formé ce merveilleux petit William, du coup monsieur fils de riche rageait, perdait patience mais il convaincrait cette sœur.

Une fois dehors dans l’air pas trop froid de ce mois de Novembre, Will souffla en observant des gamins se courir les uns derrières les autres avec des armes. Il fut un temps où il aurait fait exactement pareil avec Jake, bon peut être qu’il serait tombé. A en croire l’expert fils d’Iris, Will n’était pas très stable sur ses jambes, ce que réfutait d’ailleurs le fils de Dionysos. Ce n’était quand même pas sa faute si les pierres étaient toutes en kiff sur lui. A qui la faute ? On se pose tous la question. Pas de Jake en vue, il était trop occupé à la boutique et Will qui comptait pourtant aller le rejoindre discrètement se fit rattraper par Chiron. Totalement blasé par la mission du centaure, Will bougonna toute la matinée en entraînant une bande d’enfant qui ne voulait pas écouter et qui se tapait dessus dès que l’instructeur avait le dos tourné. Ne pas en prendre un pour taper sur l’autre, nous ne sommes pas des sauvages chez les grecs. William finit par péter le câble de trop, effraya un petit en lui glissant une lame de 15 centimètre sous la gorge avant de dire fièrement

" Apprenez à faire ça, la leçon est finit. "

Et le pire, c’est que si lui voyait en cette occasion quelque chose pour ne rien glander de sa journée, fort est de constaté que les gamins le prirent au mot et s’exercèrent toute la matinée. Willou était sidéré, il les observait d’un air intéressé, constatant qu’à cet âge-là, ça apprend bien plus vite. Du coup c’est avec gentillesse qu’il alla chercher des sandwichs pour le lot de gamins un peu bruyant et resta avec eux jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus et qu’ils s’allongent sur le sol pour reprendre leur souffle. Du coup le demi-dieu les laissa en paix, préférant faire un petit tour, s’éloignant grandement des champs de combats, du hasard purement du hasard. C’est en arrivant aux abords des champs de fraises qu’il entendit une dispute, tien la pote de Skyler, même caractère de merde que sa chère cousine. Qui se ressemble s’assemble faut croire. Si Will n’écouta rien de la dispute, se fichant pas mal de savoir ce qui se passait, des histoires de filles à coup sûr. Non il fut plutôt malgré lui mêler à toute cette histoire dont il n’avait que faire car bousculer par quelqu’un.  C’était quoi le soucis, Charlie puis maintenant Raven. Oh putain qu’elles étaient chiantes toutes ces filles. En plus voilà que Raven l’observait comme si c’était absolument normal de rentrer dans les gens, bon peut être avec le regard de carpe en plus. Le pire c’était sa phrase de déduction, avec un rictus moqueur le jeune homme répliqua

" Quel sens de la déduction, t’as besoin de rentrer dans les gens pour t’en apercevoir ?"

Elle commença à râler sur le fait qu’elle devait cueillir des fraises. C’est sûr qu’en disant, c’était pas non plus l’éclate dans les champs de fraises, rien ne changeait, toujours devoir se coltiner les mêmes personnes. Non rien à dire, ce n’était pas la meilleure chose à faire. William passa une main dans ses cheveux cherchant comment ne pas être désagréable. Même si bon sang que c’était compliqué, se faire rentrer dedans, ça n’était pas la meilleure façon de commencer la journée. C’est sur un ton las qu’il constata.

" Il faut croire que tu es douée pour ce que tu fais, ça doit bien faire cinq ans qu’ils me mettent avec des enfants pour que je les entraîne. A la limite les fraises c’est mieux, tu manges et tu peux glander. Crois moi les gosses qui courent partout, c’est la catastrophe. Rassure moi Raven, tu as pas tapé quelqu’un uniquement parce qu’ils trouvaient tes fraises nulles ? T’as de gros soucis toi, les choses ne se règlent JAMAIS par les coups. "

BY .SOULMATES

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