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 Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan]

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MessageSujet: Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan]   Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan] EmptyJeu 11 Sep - 13:00


j'aime ton sourire, ça te pose un problème ?
Aslan & Péneloppe



Il faisait nuit et le vent soufflait dans les rues de New-York. Ça ne me dérangeait pas vraiment. Fille du vent, j'adorais même cette sensation. Sentir le vent frais vous fouetter le visage, jouer dans mes cheveux, m'entourer. Je marchais rapidement, le vent avait beau être agréable, j'étais une fille seule, dans les rues sombres de New-York que je ne connaissais pas encore vraiment. Mais bon, je n'étais pas perdue au moins. J'avais repéré quelques jours avant un bar dans ce quartier et je comptais bien en profiter pour boire un verre. J'avais l'habitude en Angleterre des pubs. Mon oncle était militaire du coup parfois, il m'emmenait ainsi que ma tante lorsque les gars se retrouvaient dans un des pubs le soir pour boire un verre ensemble. Ça me manquait un peu. Les pubs anglais étaient souvent sombres, bourrés, avec un bon vieux billard au centre, le tout en bois et en velours, l'odeur de bière et de cigarette flottait dans l'air. Un léger sourire s'était formé sur mes lèvres alors que j'arrivais devant la porte du bar. Je laissais une dernière fois mon regard voyager sur la foule qui se bousculait encore à cette heure-ci dans la capitale avant de franchir la porte.

Je n'avais pas encore mis un pas à l'intérieur que déjà, une bouffée de chaleur m'entourait. Je reste quelques secondes-là à regarder autour de moi, repérer les alentours. C'était un bar, moderne, qui n'avait naturellement rien à voir avec les pubs anglais. De la musique moderne passais dans les baffes et il y avait déjà pas mal de monde. J'évitais de me poser à une table et me dirigeais vers les tabourets du bar. J'essayais de me poser un peu à l'écart. Je n'étais pas ici pour faire des rencontres. J'en rêvais oui ! Qu'un beau jeune homme m'accoste et me propose de m'offrir un verre et sa compagnie, mais bon. Depuis le temps, j'avais abandonné cette idée. Je pris la carte des cocktails face à moi pour faire mon choix. Je n'avais jamais été fan de la bière, donc ce n'est pas elle qui allait me manquer. Mais par contre un Woodberies, j'espérais qu'ils auraient. Enfin ça se serrait pour plus tard ; j'avais d'abord envie d'un truc vraiment sucré et pas trop fort. Je tenais l'alcool, mais bon, la soirée venait à peine de commencer. Finalement, je fis signe au bar-man et hurlai pour me faire entendre par-dessus tout le vacarme dans le bar ma commande.

« Un sex on the beach s'il vous plaît ! »

« Carte d'identité ! »

Je le regardais étonner, j'avais déjà atteint ma majorité depuis longtemps. Fin bon, deux ans mais ... Oh mince. Les Américains et leur loi stupide qui interdit la consommation d'alcool à moins de 21 ans. Bordel, j'en avais vingt ! Je pris ma carte d'identité et y plaçais un billet pas dessous, j'avais vu quelqu'un faire ça dans un film et priais pour que ça marche. Pourquoi je n'avais pas pris Lily avec moi déjà ? Ah oui, elle passait la soirée avec Matthew. J'essayais temps bien que mal d'aguicher le barman avec un sourire enjôleur tout en me penchant par-dessus le bar. Je devais avoir l'air ridicule mais bon.

« Je vous en prie ... »

Il me regarda sévère, avant de fixer ma carte. Le billet disparu avec le barman quelques secondes plus tard, non sans m'avoir fait un sourire qui fait froid dans le dos. Génial ! Au moins, j'allais avoir droit à mes cocktails et si je m'éclipsais avant qu'il n'ait fini le travail, je pouvais m'en sortir non ? Tout en attendant ma boisson, je fis le tour du bar des yeux. Des jeunes venant s'éclater, des vieux solitaires alcooliques, des couples venant se détendre, d'autres qui venaient draguer. Il n'y avait pas vraiment une tranche d'âge spécifique. Pas de billard, mais au moins quelques alcôves qui avaient été aménagées de sorte à avoir un peu d'intimité. D'ailleurs certains en profitaient un peut trop... Je me détournais en roulant des yeux et le barman arriva avec ma commande, me faisant un clin d'œil qui je lui rendis. Je comptais bien consommer plus d'un verre ce soir, alors au tant ne pas mètre la source en rogne. Léchant d'abord le bord de sucre, je portais finalement mon verre à ma bouche et gémis doucement lorsque le liquide froid et sucré coula dans ma gorge. Lorsque je posais mon verre seulement l'alcool me brûla la gorge, légèrement. Oh oui ça n'allait certainement pas être mon dernier verre !



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MessageSujet: Re: Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan]   Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan] EmptyMar 16 Sep - 21:36





« Quoi, quarante dollars pour me faire traverser deux quartiers ? Avec ça, je peux m'acheter suffisamment de pizzas et de bières pour me passer la meilleure soirée de ma vie devant le baseball, escroc ! Voleur ! » Je connaissais New York comme étant la ville des gens pressés, je ne la connaissais pas comme étant le repaire des taxis opportunistes. Sérieux, quarante dollars pour aller à Little Italy à partir de Midtown, non mais dans quel monde on vit ? Il y a vraiment des gens qui sont payés à rien faire dans cette ville. Rappelez-moi de me reconvertir en taxi new-yorkais le jour où j'ai une femme et des enfants à charge, il y a vraiment de l'argent à prendre. C'est sidéré par les tarifs affichés par ces zigotos que j'avançais dans les rues de cette énorme ville. Niveau ambiance, pas photo, je préfère ma Nouvelle-Orléans voir San Francisco à la rigueur. Les gens ? Tirés aux quatre épingles, courant partout comme des malades comme si une bombe nucléaire allait atterrir sous peu sur la ville. Même moi, parfois contraint de canaliser mon taux d'hyperactivité, je ne parviens pas à suivre leur rythme. Pour sûr si je le faisais, on me retrouverait sur le trottoir, mort de convulsions et doublement mort, piétiné par les gens. Pour me fondre dans la masse, j'ai décidé ce soir-là de m'équiper d'une chemise blanche et d'un pantalon de costume. Mais pas n'importe quelle chemise et n'importe quel pantalon, le tout est dans une matière extensible qui s'adapte à la peau. En cas de pépin, j'aurai toujours la classe en lion et si je venais à redevenir humain, je ne me baladerai pas à poil. Oui, ça m'est déjà arrivé et par vécu, je préfère éviter la récidive, voyez-vous. Cigarette au bec, j'observais ces gens passer, même si je n'avais pas vraiment le temps de les scruter. Des belles dames, il y en avait forcément mais elles n'avaient pas de temps pour moi, elles préféraient fuir la bombe nucléaire. Et moi, qu'est ce que je faisais là ? J'ai accepté une invitation de mon père la veille qui voulait me faire découvrir la ville et au passage, me faire passer un week-end au calme. Ça s'est tellement mal passé entre-nous que dès demain, je retournerais à San Francisco. Le problème avec mon père, c'est qu'il a la sale tendance d'oublier que premièrement, je ne suis pas un "jeune homme comme les autres" comme il essaye souvent de m'en convaincre et que mon modèle de vie n'est pas de "réussir ma vie, comme lui". Si réussir sa vie est de s'enrichir mais de délaisser sa famille dans le but d'engranger éternellement, je préfère vivre au jour le jour, de faibles revenus et d'un logit modeste.

La nuit battait son plein sur la ville, je ne revenais pas que je devais partir peu de temps après le lever du soleil d'ici quelques heures, j'allais m'envoler et me barrer. Le pire dans tout ça, j'ai rien foutu pendant deux jours, j'ai passé mon temps à dormir et à regarder la télé. Pour ainsi dire, cette soirée était la première et certainement la dernière que j'allais passer dans cette foutue ville. C'était pas une grande perte, leurs pizzas sont tout simplement infectes, comme les gens ici. Qu'est ce que je pouvais bien faire à cette heure-ci ? Ma rédemption se trouvait à Times Square, où se trouvait ce qui allait probablement être mon abreuvoir du jour : les flots de Neptune. Nul besoin de le présenter, lui qui est réputé pour faire cohabiter bien souvent mortels, grecs, romains, partisans et même parfois les dieux. Les quelques fois où j'y ai été, je n'ai jamais eu d'emmerdes mais sait-on jamais, ce soir était peut-être mon moment de chance. J'y croiserais peut-être une tête qui me revient pas, un partisan avide de sang ou tout simplement un dieu qui n'appréciera pas mes critiques. Dans tous les cas, ma soirée s'annonce trépidante et si on envisageait un bon scénario, peut-être que j'y ferai une rencontre "intéressante", hum hum. Il me fallut un certain temps pour atteindre le bar, une heure tout au plus, m'étant complètement perdu dans cette ville de fou. Dedans, il y avait un peu d'ambiance, le jukebox ambiant balançant des morceaux datant des 70's. Maintenant, impossible de dire si j'étais au milieu de gens normaux ou si j'étais en pleine réunion de partisans, mon instinct de lion était au repos. Je me devais de le réveiller, sous peine de me retrouver pris dans une embuscade et ce n'est ni ma métamorphose, ni mon yo-yo qui risquent de me sauver ici. Et pour cela, il n'y avait pas cinquante solutions. Pour bien se réveiller le matin, on utilise en général du café, un gant de toilette imbibé d'eau gelée ou pour les plus coriaces, des seaux d'eau gelée. Pour mon cas, il y a quelque chose que je ne fais pas souvent mais qui est terriblement efficace : l'alcool.




Ce soir, les shots allaient défiler les uns derrière les autres, c'était certain. Mais pour mon entrée en matière dans le monde des éponges à bar, il fallait quelque chose de marquant, quelque chose qui marquerait mon territoire. Quelque chose qui ferait comprendre aux autres buveurs "putain, ce type est un coriace, on va éviter de le chercher sous peine de se faire casser en deux". Pourtant, lorsque Mister Cocktail apparaissait devant moi avec une mine drôlement grochonne, aucun nom d'alcool ou de cocktail filtrait dans mon esprit. *Pense, pense, pense* Me disais-je, me tapant la tête tel Winnie l'Ourson cherchant son miel. Puis, débloquant totalement, je sortais la première chose qui me passait par la tête sous peine de m'attirer les foudres de ce mec. "Un vodka-martini, mélangé au shaker, pas à la cuillère." Bravo Aslan, même le barman se fout de toi. Tu aurais pu citer notamment les quelques centaines de cocktails que tu as déjà goûté, un whisky, de la vodka, même du cidre, mais t'as choisi de te taper la honte en commandant la boisson de l'Agent 007, comme un gamin qui avait envie de savoir quel goût ça pouvait avoir. Le temps pour moi d'y réfléchir que je recevais ma boisson, sans même savoir à quoi ça ressemblait. Bien heureusement, ça passait assez bien, James Bond avait un minimum de goût. Me redressant la carcasse pour paraître costaud, histoire de ne pas rester ridicule, mon regard dévissait sur la droite tout d'abord. Un écran télé qui rediffusait les moments-clés de ce qui semblait être un match de football américain, quelques poivrots, un couple, deux couples, trois couples.  Mon regard croisa celui d'une jeune demoiselle, qui sirotait son cocktail non loin de là - un sex on the beach, à vue de nez -. Aussitôt remarquée, mon regard fuyant caractéristique passait son temps entre un faux intérêt pour la redif du match et l'analyse de la blonde qui se tenait là. C'est qu'elle était pas mal et seule, de surcroît. Peut-être le moment de moi de me tester, voir si j'avais rouillé ou si j'étais toujours en selle.

M'approchant d'elle discrétos tel le félin que je suis, sourire de côté agrippé au visage, j'avais tout au plus quelques secondes avant l'atterrissage, le temps pour moi d'élaborer mon approche. Profitant d'un dernier instant pour redresser une mèche rebelle, je lançais enfin la conversation, affublé de mon humour caractéristique. "Sex on the beach, hum, mademoiselle n'a pas peur de faire des propositions aux gens. C'est pas très conscient, à cette heure-ci, les habitués en ont un coup dans l'aile, suffisant pour prendre ces propositions avec intérêt." Le sourire de façade était là pour mettre à l'aise car si je disais ça sérieusement, je pense qu'elle se serait enfuie en courant. Buvant le vodka-martini en avalant au passage l'olive qui nageait dedans comme un poisson dans l'eau, je scrutais le visage de mon opposante, y cherchant un je ne sais quoi de particulier. Ma première impression me disait qu'elle était assez attirante, mais pas simplement attirante. Il y a attirante et attirante, là, je suis guidé comme un aimant auprès d'elle. Pourtant, elle n'a pas l'air d'en porter et je n'ai pas le squelette blindé d'adamantium. Cachant mes impressions sur mon visage, je me demandais bien ce qui se cachait derrière ce visage angélique. Était-elle une mortelle, une déesse, une grecque ? En tout cas, elle n'était pas romaine, sa tête ne me disait strictement rien. Dans le doute, je ne prendrais aucun risque à révéler mon identité secrète de super-héros romanesque. Du moins, pas avant qu'elle ne me révèle la sienne."Une telle inconscience doit forcément avoir un prénom, pourrais-je le connaître, ou je ne suis pas dans le cercle des adeptes du bain de minuit ?"



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MessageSujet: Re: Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan]   Prends ma main, et oublions ce qui nous sépare pour une nuit... [feat. Aslan] EmptyMar 16 Sep - 23:25


j'aime ton sourire, ça te pose un problème ?
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Je continuais à fixer les gens au tour de moi. Aucun visage familier et personne qui me semblait suspect niveau monde divin. Une soirée calme. Je m'amusais à observer les habitués devant leur match de foot, saoul, à parier, critiquer hurler entre amis. C'était assez intéressant à analyser niveau comportementale. Quelques minutes plus tard la porte du bar s'ouvrit et un jeune homme entra. Il ressortait légèrement de la masse présente, en chemise blanche et pantalon de costard. Je rigolais intérieurement. Il devait avoir la vingtaine plus ou moins. Il avait quelque chose de sauvage dans son comportement qui ne collait pas trop avec ses vêtements, mais bon. Je retournais à mon cocktail. Il y avait une bonne ambiance dans ce bar, mais rien de comparable à l'Angleterre. Elle me manquait ma belle Angleterre. Je repris une gorgée de mon alcool, remarquant que le barman avait arrêté de me fixer pour servir d'autres clients. Dont notamment le nouveau venu. Bon sang, il fallait vraiment que je parte avant qu'il ne finisse son service.

Je réfléchissais aux différentes manières de le neutraliser, maintenant que j'avais encore l'esprit clair, si jamais je n'arrivais pas à me débarrasser de lui, lorsqu'il s'adressa à moi. Je redressais la tête et vis étonnée le nouveau venu en costard devant moi. Je devais me retenir de rire face à sa remarque. Une très bonne approche pour mettre les filles en confiance, mais... Je n'étais pas du genre à baver devant ce genre de gars, de lui proposer une place et d'entrer dans son jeu. Lorsque j'accompagnais mon oncle parfois aux pubs, un de ses collègues et meilleure ami s'était imposé comme mission de m'apprendre à envoyer bouler les dragueurs. Si jamais un mec restait face à mon sarcasme, c'était qu'il était digne d'intérêt m'avait-on dit. Comme personne ne m'avais jamais dragué en Angleterre, c'était le moment de tester la technique, n'ayant pas envie de me taper la compagnie d'un lourd, débile, ayant le mot « poitrine » imprimé sur les yeux.

Je me retins donc de rire à la vanne du nouveau venu, haussant un sourcil avant de reprendre une gorgée de mon cocktail. Soit j'avais l'air totalement ridicule, soit j'avais réussi mon effet décontracté, mais classe.

« En effet un sex en the beach – et vous agent 007 toujours fidèle à votre vodka martini ? »

Et oui, mon oncle m'avait aussi initier au fait de reconnaître les alcools, et cocktails avant mon départ. Selon lui si on reconnaissait la boisson, on savait déjà dire que c'était la bonne commande. De plus, lui étant fan de James Bond, il avait tous les filmes en DVD et m'y avait initié, les Britanniques peuvent avoir une telle classe, j'étais passé par l'étape du « un vodka martini pour moi, je vous prie ! ». Bon malgré le fait que j'avais voulu rester neutre un petit sourire sarcastique était apparu au bord de mes lèvres. Il faut aussi dire qu'il avait de l'humour ! Je continuais en posant théâtralement ma main sur mon front :

« Ah ! Vous m'avez démasqué ! En effet je lance des signaux secrets visant à attirer l'attention de la gente masculine sur le fait que je veuille m'envoyer en l'air. C'est parce que vous avez l'habitude en tant qu'agent secret des messages cryptés du service secret que vous avez su déchiffrer celui-ci ? »

Oui bon, je le charriais un peu beaucoup avec sa boisson. Mais j'y peux rien moi ! Vous me tendez une perche et je la saisis ! D'ailleurs, il ne s'arrêta pas là et m'en tendit une autre, belle, je l'avoue. Oh, Peter, tu serais si fière de ton élève si tu entendais comment elle appliquait ses leçons durement apprises ! Je fis mine de réfléchir un instant à sa question avant de me retourner vers lui, une mine suspicieuse exagéré sur le visage.

« Hmmmm... Je ne sais si vous avez les références nécessaires pour accéder à ces informations confidentielles, monsieur Bond. Vous n'avez cas user de votre imagination le temps que je vérifie votre dossier ! »
Oui, j'étais un peu vache, j'avoue. Mais mon sourire à la fin de ma réplique lui laissait le choix. Soit de partir si jamais une fille facile le tenterait plus, soit de continuer cette conversation s'il voulait tenter le coup. Je pris une gorgée de mon verre, attendant sa réponse et pris le temps de le détailler. Je restais sur ma remarque qu'il y avait quelque chose de sauvage chez cet homme. Je ne sais pas si ça venait de ses cheveux bruns qui semblaient être rebelles, ou de son regard profond ou encore sur sa manière de bouger. Je décidais de laisser ce détail perturbant, mais qui m'attirais, de côté pour l'instant. Je ne voulais pas avoir envie d'en découvrir plus sur lui s'il allait partir la seconde d'après. Je sais que je serais déçue de ma soirée et ne pourrais plus décrocher. Mais je dois avoué qu'il y avait quelque chose dans son sourire et dans sa manière de me regarder... Il avait quelque chose pour plaire. Pour me plaire plus précisément. J'espérais avoir l'occasion d'approfondir mes analyses.




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