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 Dis toi que c'est facile, du tout cuit [Edwige]

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MessageSujet: Dis toi que c'est facile, du tout cuit [Edwige]   Dis toi que c'est facile, du tout cuit [Edwige] EmptyVen 19 Sep - 14:47

Ptite Chouette ∞ Lily
Se lever le matin, dit comme ça, c’est un truc tout con. Hyper simple et tout le tralala mais en vrai, c’est un effort surhumain, surtout quand les autres membres du bungalow sont des grosses feignasses dont le seul but dans la vie semble être draguer, briser des cœurs innocents ou même se faire avoir en beauté par un augure complètement taré. Non mais au bout d’un moment c’est vrai faut le reconnaître, Octave ce n’est pas vraiment le gars parfait, même si à la limite… physiquement ça peut passer. Putain mais il suffit de le regarder deux secondes pour comprendre que le monde ne signifie rien pour lui. Je crois même qu’il serait capable de tous nous faire sauter sans éprouver le moindre remord. Mais Naël a quelques légers soucis avec ça, je sais bien que lorsqu’on est amoureux c’est plutôt compliqué de voir les défauts de l’autre, même si moi je l’ai bien trouvé le défaut de Matthew, sa putain de moto de merde. Un jour je vais la défoncer, pas tout de suite parce que j’ai la flemme et que je suis fatiguée, mais un jour je pèterais son pot d’échappement et puisque je ne sais pas exactement à quoi ça correspond je détruirais chaque pièce de cette moto. Je n’ai pas à passer derrière une moto, ça veut dire quoi ça ? Moi je ne le fais pas passer après autre chose… pas vraiment.

Pour en revenir au sujet un peu plus intéressant que ma jalousie envers un objet qui s’anime qu’entre les doigts de mon amoureux. J’avais beau vouloir dormir encore, mon cerveau s’était réveillé, tourner dans son lit en quête du sommeil c’est bien impossible. Je me débarrassais de mes couvertures et à la faible lumière du soleil qui perçait dans la pièce je me dirigeais. Soit dit en passant, je déteste les gens qui ne savent pas fermer des rideaux, je ne supporte pas le moindre rai de lumière quand je dors. En sautillant, évitant au mieux les chaussures de mes sœurs, elles en avaient des collections, même dans mes rêves je n’en avais pas autant. Est-ce qu’elles arrivaient  toute les mettre ? Je ne pense pas, mais pour autant il m’était impossible de leur emprunter, une belle bande d’égoïste les sisters, un jour je ferais brûler le bungalow pour me venger. Sans les tuer bien entendu, mais pour réduire leurs chaussures en cendre, pour les soigner de leurs nombreuses dépenses, je suis tellement sympathique que je m’épate moi-même.

L’idée en se levant plus tôt qu’elles, et eux, c’était d’échapper aux corvées de nettoyage de bungalow. Je sais que les enfants d’Aphrodite et ce bungalow est toujours niquel mais il n’y a rien de pire que l’odeur de citron, j’avais proposé un  autre produit aux votes, mais essayer de convaincre des filles qui font le ménage pendant que vous vous tournez les pouces, cela ne marche pas vraiment. En même temps, elles trouvaient de la poussière où il n’y en avait pas, sérieux un coup de chiffon et c’est fini, bah non pas avec ma famille. Moi j’avais la tête qui tournait à chaque fois et je lâchais très rapidement que j’allais voir Matthew ce qui ne les dérangeaient même plus, à croire que j’étais un poids mort pour le ménage. Du coup se lever en premier, s’habiller sous les respirations endormies plus ou moins fortes. Une fois prête, l’image que me renvoyait le miroir me convenant, je refis le kamikaze esquivant au maximum leurs chaussures. Enfin c’était l’idée mais finalement taper dedans pour les dégager du passage était une bien meilleure idée.

Une fois dehors, je filais aux terrains d’entraînements, installée en  tailleurs prêt des cibles, je regardais déprimée John qui semblait vraiment la personne la plus butée au monde. J’avais eu beau lui expliquer qu’il était complètement pourri à l’arc, non il persévérait encore et toujours.  Pourquoi rester à ses côtés alors que c’était un tel danger public, il me faisait rire. Il se frustrait à chaque fois que sa flèche passait large à côté de la cible, du coup c’est vrai que rester à côté c’était bien marrant. J’avais essayé de le faire viser à côté voir si ça marchait mieux mais non avec lui rien ne marchait. Wyatt était non loin de John comme si le spectacle avait quelque chose de plaisant même pour les autres. En revanche, aucun signe de Matthew, encore sa fichue moto. Franchement c’était chiant, je ne pouvais pas lui crier dessus, ça ferait petite amie bien trop jalouse, mais putain que ça me gavait. Il ne faisait aucun effort dans ce domaine, il avait beau être parfait dans tous les autres, celui-là, c’était vraiment son défaut le plus emmerdant à mon sens.

Combien de temps je restais dans mes songes, penser à Matthew me déconnectait de la réalité, vraiment impressionnant. Lorsqu’enfin mon esprit reprit le cours normal des choses et en vint à l’instant présent mes deux amis avaient totalement disparu. A la place, la seule personne en face de qui j’avais un mutisme. Ouai ça peut surprendre mais j’étais complètement tétanisée lorsqu’elle était dans les parages, j’aurais bien aimée pouvoir m’approcher pour lui parler mais mes muscles étaient incapables de faire le moindre mouvement. De ce fait je l’observais, silencieuse, dans mon coin. Nul besoin de préciser que contrairement à John, elle maniait très bien son arc, les flèches se posaient à chaque fois dans le mille. Elle devrait peut être donner des cours aux autres. Depuis que j’étais à la colonie, presque un an maintenant, j’arrondissais souvent à un an pour ne pas avoir l’air d’une petite nouvelle même si j’avoue qu’ils sont tous des anciens par rapport à moi, ça ne m’a pas empêché de bien m’intégrer et ce n’est pas dû à ma mère biologique, n’importe quoi, le caractère me vient de ma seule et unique personne et si je plais aux gens ce n’est certainement pas parce que je suis fille de machin chose, surtout que les filles avaient tendance à être détestable dans la famille. Quelle idée de vouloir piquer les copains des autres, c’est du grand n’importe quoi.

Pour une fois, j’étais debout, prête à assurer et aller lui dire bonjour. Après tout, elle parlait à des gens… elle était proche de Wyatt, et même si ce gars n’a pas toute sa  tête, ses amis je les aimais bien, mon copain était un de ses amis, et puis merde j’étais même sortie avec Wyatt, je sors pas non plus avec des débiles. La distance qui séparait Edwige de moi n’était en soit pas gigantesque, en trois pas normalement c’était fait. Sauf que je faisais des pas de fourmis, j’avais beau me convaincre mentalement que tout irait très bien, qu’au pire je demandais juste un autographe et que je filais me planquer, un bref regard autour de moi me signala qu’il n’y avait aucune planque correct. Ok si ça dérape je pars en courant. Une fois derrière elle, j’attendis patiemment que sa dernière flèche soit dans la cible, cependant il est probable que je l’ai déconcentré par ma simple présence puisqu’elle n’était pas aussi bien lancée que les précédentes, ça promettait. Puis alors que j’avais préparé un beau discours, les seuls mots qui parvinrent à sortir de ma bouche dans un anglais qui pour le coup laissait franchement à désirer.

« T’es douée avec un arc »

La phrase la plus conne au monde sérieux, qui sort ce genre de phrase. Je devais avoir l’air d’une espèce d’imbécile complètement débile qui sortait ses phrases d’un manuel scolaire, mais j’y peux rien elle m’intimidait, j’avais vu des tonnes de magasines d’elle moi, j’avais toujours été admirative. Comme toutes les gamines je m’étais fait des tas de films plus jeune, sauf que voilà rare sont les gamines qui peuvent discuter avec Edwige, et c’est bien simple ça me terrifiait totalement. Je serais bien rentrée sous terre pour le coup mais ce n’était pas poli, du coup je la regardais. J’étais prête à plein de cas de figure, qu’elle lève les yeux au ciel, qu’elle éclate de rire, qu’elle m’ignore royalement, qu’elle me dise qu’elle n’avait pas bien compris  non j’étais archi prête.
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MessageSujet: Re: Dis toi que c'est facile, du tout cuit [Edwige]   Dis toi que c'est facile, du tout cuit [Edwige] EmptyJeu 23 Oct - 14:45



Dis toi que c'est facile, du tout cuit


Ce n’est pas parce que t'es un enfant d'Apollon, dieu qui trimballe une énorme boule de feu sur son char dans le ciel, que le matin c'est plus facile que pour les autres. Et parce que le soleil faisait partit de la famille on avait l'habitude de ne jamais l'oublier. Et ça commençait par la fermeture des volets assurés. Je vous promets que ça marche...quand il n’y a pas un abruti de fils d'Arès pour mettre un coup dedans. Ouverture instantanée, le rayon directement dans la tronche de la jeune fille. Résultat, un petit flip avec un beau sursaut et hop par terre. Gamelle en pure bonne et due forme. Le cœur qui se serre quand tu chutes. Le bruit assourdissant quand tu touches le sol et surtout, surtout le "aie" qui conclut le tout. Vous l'aurez compris, ça n'a rien de discret. C'est pour cela que les réactions dans les lits voisins ne manquèrent pas de se faire entendre par des voix ensommeillées étouffées sous les couvertures. "C'est déjà l'heure?" dit l'un de ses frères. "Non c'est pas l'heure! Je veux encore dormir" répondit une des sœurs. "On n’a pas idée de faire un bruit pareil à cette heure" renchérit un troisième. A l'occasion, la jeune femme n'avait aucune idée de comment sa fratrie pouvait connaitre l'heure les yeux fermés dans le noir au confort de leur petits lits, mais pour le coup on aurait pu se croire dans le bungalow d’Hypnos. La demi-déesse aurait pu retourner dans son lit, mais le choc l'avait bien réveillé et surtout fait prendre conscience qu'elle avait une envie pressante. Pour éviter d'autres effusions de mécontentements, elle râla dans sa tête en maudissant l'autre enfoiré, et se leva silencieusement afin de s'habiller. Toujours de manière discrète.

Elle ne sait comment, mais une fois habillée et devant la porte du bungalow, elle eut la satisfaction de voir qu'elle n'avait dérangé personne. Elle sortit le plus discrètement possible et heureusement, qu'ils avaient fait huiler les écrous récemment. Oui, pour ceux qui ne le savent pas, elle grinçait vachement avant. Bien entendu, la jeune mannequin aurait également pu laisser le volet ouvert, mais décida finalement que ses frères et sœurs n'y étaient pour rien dans tout ça et alla fermer le volet depuis l'extérieur. Toujours dans le plus grand respect du repos de ces derniers, sachant très bien l'amertume que laissait un réveil abrupte. Puis, elle se dirigea là où elle avait prévu d'aller.

Une fois toutes les nécessités faites, elle s'étira pour réveiller les muscles et se demanda ce qu'elle pouvait bien faire désormais. Elle avait pris un petit déjeuner rapide, ce qui voulait dire qu'étant donné qu'elle avait l'estomac plein, la demi-déesse serait moins agressive. Et comme elle était en manque d'agressivité, elle décida  de profiter d'un moment passif pour s'entrainer à l'art guerrier favori de sa famille : l'archerie. Le terrain de combat lui vint donc tout naturellement à l'esprit et ses pas l'y guidèrent comme si de rien n'était. C'est à ce moment-là qu'elle croisa Wyatt et John qui quittaient ce même terrain. Les saluant d'un signe de main et un sourire, elle les laissa tracer leur chemin pendant qu'elle faisait le sien. Ils lui signalèrent tout de même qu'ils y avaient laissé leur amie et qu'il ne fallait pas s'étonner si elle semblait stoïque. Les garçons avaient apparemment décidé de ne pas la déranger en la sortant de ses rêveries. D'ailleurs, la fille d'Apollon put constater la véracité des propos des deux jeunes hommes par elle-même. Elle se rappela de la jeune fille. C'était une fille d'Aphrodite répondant au nom de ...attendez! Elle l'avait sur le bout de la langue. Il fallait préciser que la jeune femme n'était arrivée que récemment et que les dieux semblaient loin de connaitre ou pratiquer le mot "abstinence". Surtout Aphrodite qui -n'était certes pas le bungalow le plus rempli- avait le don de faire des enfants à la pelle et surtout d'âges assez rapprochés. Venant d'un dieu on pouvait comprendre, mais venant d'une déesse on pouvait se poser des questions sur la manière dont durait sa gestation. Mais bien qu'Edwige soit curieuse, elle était à des années lumières de menait une recherche scientifique sur le phénomène divin et elle ne se sentait pas l'âme d'être la première à étudier la vie de ces ...dieux.

LILY-ROSE. Trouvé. Ravie de s'être souvenue de l'identité de la jeune blondinette, elle testa innocemment, la perte de cette dernière dans ses pensées. La jeune femme agita sa main devant ses yeux, marcha autour d'elle, fit la roue devant elle, rapprocha son visage d'elle en tirant la langue. Rien n'à faire, elle ne bronchait pas d'un pouce. Soit! Comprenant pourquoi les garçons n'avaient pas voulu la déranger, elle décida de faire de même et s'arma de son arc et des flèches de la colonie pour commencer à s'entrainer. Afin que cela reste quand même productif, elle avait arrangé son entrainement afin d'avoir à tirer sous tous les angles et non seulement en ligne droite. Il n’aurait plus manqué que des cibles mouvantes et tout aurait été parfait pour un bon entrainement… mais bon on n’avait pas le droit de viser les gens réels. Pourtant quelques flèches dans les fesses des Arès ne leur feraient pas de mal. Tout allait bien. Les flèches se fichaient toujours en plein milieu des cibles. Toutes sauf une. En effet alors qu’elle s’apprêtait à décocher, Edwige senti un mouvement derrière elle qui la perturba et la flèche se ficha sur la cible certes, mais loin du centre. Même si elle avait été perturbée, le résultat la décevait. Son regard se fixa sur la cible, sourcils froncés et mine boudeuse. Se retournant pour voir ce qui l’avait perturbée, elle eut droit à un compliment. « T’es douée avec un arc ». Au début légèrement interloquée par cette remarque à peine retournée. Ses sourcils se froncèrent pour seule réponse. Euh oui ! d’accord ! Finalement son cerveau percuta que celle qui lui parlait, n’était autre que la jeune fille que les garçons avaient abandonnée. Elle sourit à la blondinette, puis se retourna vers la cible. « Pourtant il semblerait que j’ai encore bien des progrès à faire. Cela serait bien que j’arrive à viser dans le mille, même quand mes capacités de concentrations ne sont pas à leur maximum. » Reportant de nouveau son regard sur la blondinette, elle surenchérit avec un autre sourire « Tu ne crois pas ? »



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