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 Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena]

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MessageSujet: Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena]   Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena] EmptyMar 10 Fév - 17:24

Elena / Alison
Qu’est-ce que je me faisais chier, c’était insupportable de regarder les combats sans rien faire, d’habitude les gens normaux arrachent l’herbe lorsqu’ils sont assis, ne me demandez pas pourquoi, je le sais c’est tout, il n’empêche que suite aux passages des générations de demi-dieux, nous n’avions plus le moindre brin d’herbe à arracher, il fallait donc prendre notre mal en patience. Avec courtoisie, je me penchais vers le centurion à côté de moi pour lui demander certes un peu brutalement mais en même temps je n’allais pas non plus me coucher à ses pieds, si je pouvais partir. Le regard qu’il me lança était un mélange de crainte à l’idée que j’enfonce sa tête dans cette sorte de terre boueuse et l’agacement envers lui-même de montrer ça. Quand je disais qu’ils n’étaient pas du tout normaux dans ce camp. Je grognais un truc qui dans ma tête voulait dire quelle brochette de mongoles et qui sonna plus comme un fait chier je m’ennuie moi. Je ne pouvais quand même pas être la seule dans ce cas. Je cherchais l’odeur de Sara dans le nombre de gens installés là, peluche où te caches-tu ? Comme si on avait besoin d’une formation pour se battre, sérieux un coup de patte et emballer c’est peser, bon après c’est vrai qu’il y a les petits quarts d’heures engueulade avec Kathleen, ce n’est quand même pas ma faute si la peau des humains est incroyablement fragile, les os on en parle même pas, une pichenette et hop cassés, qu’est-ce que j’y peux s’ils n’ont pas la constitution de rêve.  Malgré tout, afin de ne pas avoir le cerveau qui surchauffe, j’essayais vainement de me concentrer sur le combat, un pas en arrière pour l’un, deux en avant pour l’autre, mes poings se refermèrent d’eux même mais c’était sérieusement possible d’hésiter autant avant de taper ? Non mais quelle bande de mauviette, je pouvais peut être taper sur les deux histoire de leur apprendre qu’il vaut mieux frapper avant d’être frappé, une belle philosophie de la vie.

Certainement que j’aurais même été au bout de mon accomplissement personnel d’exploser le nez de ces tocards de première si je n’avais pas senti l’odeur de Cameron ainsi que les battements affolés de mon cœur, quel calvaire ce genre de sentiments. Déjà que ça me soulait un peu de ne pas pouvoir me transformer en sa présence, si en plus mon rythme cardiaque s’accélérait à son contact, j’étais bonne pour les câlinous avec elle. Néanmoins, la rejoindre me paraissait une très bonne idée, je me relevais en lançant un regard mauvais au centurion qui commençait déjà à râler comme quoi j’étais pas attentive, qu’il vienne sur le terrain avec moi, je me ferais une joie de lui montrer que même sans regarder ce qui se passait, j’arriverais sans nul doute à m’en tirer bien mieux que lui. Je rejoignis donc la petite blonde sans avoir à grogner pour que les gens s’écartent, je finis par me poser à sa gauche et m’éclaircirait doucement la gorge avant de lui souffler le plus sérieusement du monde.

« Comment tu fais pour arriver à trouver ça intéressant ? »


C’était du Cameron malheureusement, elle avait encore des progrès à faire en combat et semblait vouloir apprendre en observant les gens même si je ne voyais pas tellement l’intérêt d’en faire une guerrière, pour moi elle était du genre à soigner tout le monde, comme Kathleen, le genre de fille à ramener les animaux blessés à la maison. Rien que l’idée me déplaisait fortement, cohabitation est un mot qui sonne très joliment mais dont je ne vois pas vraiment l’intérêt mais je savais aussi qu’il suffisait d’un regard de Cameron pour que je cède à toutes ces idées, la poisse mais c’était mignon aussi de pouvoir faire confiance à quelqu’un de la sorte. Je lui aurais même proposé de s’éclipser quelques heures du combat si quelqu’un n’avait pas appelé MA copine pour un truc de cohorte. Je ronchonnai légèrement malgré le bisou qu’elle m’offrit en partant avant de lui attraper la main pour la forcer à attendre quelques secondes et je lui promis d’aller la chercher et de l’embarquer dès que l’entrainement serait terminé. Toujours aussi peu concentré sur le combat, je l’observai s’éloigner en ressentant déjà un vide creusé par son absence. Même amnésique elle me plaisait bien et ce fut une torture psychologique de devoir faire semblant de m’intéresser au combat.

Après une trentaine de minutes qui sembla avoir duré des jours tellement je m’ennuyais à mourir, j’aurais presque pu dessiner des formes dans la terre, c’est dire, les gens commencèrent à se disperser lentement. Le pire fut les dialogues de certains, ils avaient trouvé le combat bien, je manquai de m’étouffer en entendant ça… bien ? Non mais hé les gars et les filles, c’était le combat le plus pourri de l’année, mettez moi avec Sara sur un terrain… après avoir éloigné Cameron bien sûr et je peux jurer sur mon honneur que ça sera plus explosif. M’enfin, pour le moment même si le fait d’avoir un tigre dans les parages m’irritai au plus haut point surtout lorsque son odeur de merde était sur les vêtements d’Alex, je ne la provoquais pas sachant pertinemment que peu importe l’issue de ce combat, je ne voulais pas la connaître, je voulais essayer de me battre moins pour Cameron même si je reconnaissais que tuer ne me posait pas de problème, surtout quand on attentait à ma vie, il suffisait d’éviter les problèmes, raison pour laquelle je ne participais plus vraiment aux combats entre cohorte me contentant de les « regarder ». Pourtant, ça me manquait aussi et j’avais peur que mes muscles fondent et de ne plus pouvoir trouver en moi les ressources nécessaire, il fallait vérifier si j’avais toujours cette lueur sauvage en moi.

Une fois debout à mon tour, je m’approchai de l’arène, je fis le tour du cercle dessiné par l’arme d’un héros inconnu du public n’ayant laissé que cette trace indélébile de son passage sur terre. Finalement, je me plaçai à l’intérieur du cercle sans partenaire pour combattre me contentant de sentir l’adrénaline courir dans mes veines, l’envie d’en découdre pulser en moi, l’odeur du sang frais me faisait trembler, l’envie de taper tout le monde et pourtant, je ne me transformai pas me contentant de lever les yeux au ciel et d’écouter les bruits alentours avant de me tourner en sentant une présence derrière moi. Sans poser le regard sur elle, ne voyant en elle aucun intérêt, je me contentais de passer sur le côté pour aller vers la cohorte une chercher mon amie.
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MessageSujet: Re: Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena]   Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena] EmptyDim 15 Fév - 0:23

Tant mieux, ça ne nous intéresse pas
φ Donnons à notre labeur la sueur qu'il mérite tant.

Au petit matin, alors que j’ouvrais tendrement les yeux que je dû cligner plusieurs fois de ceux-ci pour avoir une vision claire de ce qui m’entoure. J’étais en forme ce matin, le réveil ne fut pas réellement difficile et en un petit bond, je sortis de mon lit, les seins à l’air avec seulement un petit bas pour cacher mes parties intimes. Je m’empressai d’enfiler le pyjama standard de la légion car il n’était pas forcément bien vu de dormir à moitié nue. Je mis mes chaussons et me rendu compte que ma sœur était déjà partie, comme d’habitude. Les devoirs de Praetor de Reyna la tenaient très occupée et je savais d’avance que ce n’était jamais le type de responsabilité qui m’intéresserait. D’un mouvement, je me dirigeais alors vers notre salle de bain afin de pouvoir faire ma toilette du matin avant d’aller prendre mon petit déjeuner avec tout le monde. J’arrivais souvent dans les dernières, mais jamais réellement en retard. J’étais disciplinée après tout, mais loin d’être lèche-boule. Il ne faut pas abuser, je n’ai pas vraiment ni le temps, ni l’envie, ni l’intérêt d’être remarqué de mes supérieurs pour une bonne conduite exemplaire. Mieux vaut rester une petite madame tout le monde dans ce genre de cas, mon taux d’infamie auprès de certains sangs mêlée est déjà bien assez haut comme ça. Ça tombe bien, je les déteste aussi. Une fois parmi la foule, je me sentais tel une ombre, une menace invisible pour chacune de ces proies qui étaient pourtant mes frères d’armes. Hormis quelques petits regards de garçon que j’ignorais complètement, personne ne venait me voir. Je n’avais pas d’amis, il n’y avait que ma sœur que j’aimais, mais je n’ai jamais réellement pensé que c’était réciproque.

Cela faisait neuf ans que j’étais ici, j’ai eu des connaissances par moment, des personnes avec qui j’étais, mais jamais réellement longtemps car il finissait par découvrir ma vraie nature, il se mentait à eux-mêmes sur ma personnalité depuis le début et m’en tenait rigueur lorsqu’ils étaient face à la réalité. Une belle preuve de la stupidité de leurs humanités. Mais c’était tant mieux, la solitude m’allait très bien, je faisais ma vie tranquillement au sein de la légion. Plus que deux ans à tirer avant d’être libre. Au niveau des performances, j’étais une excellente combattante parmi le niveau global des sang-mêlé mais plutôt moyenne parmi les enfants de Mars ou encore de Bellone. Mon seul avantage en combat réel dans ces cas-là était mon sang froid. Beaucoup perdait une partie de leurs capacités lorsque l’appel de la guerre était présent, la rage, l’adrénaline, la peur les déstabilisaient. Moi, ça me renforçait, ça me rendait plus forte, plus courageuse, plus audacieuse, plus astucieuse. C’était exactement le même de sensation qui faisait de ma vie quelque chose d’intéressant et comestible. J’aimais avoir peur, avoir mal, avoir de la colère et ma pire des drogues, c’était l’adrénaline. C’est pour ça que lors de mes entraînements au cercle de combat, je ne me laissais jamais réellement aller au maximum, car c’était typiquement le genre d’attitude qui se remarquerait, je n’ai jamais laissé rien ni personne me déstabiliser au point de me laisser abattre de la sorte. Il y a une mascarade à tenir sur mes performances qui est plus importante que ruiner l’ego d’un autre.

C’est d’ailleurs ce que j’allais faire aujourd’hui, m’entraîner au Champ de Mars, parfaire ma connaissance et ma pratique de l’art de la guerre. Observer les autres donner leurs vies dans un combat d’entraînement à un tel point qu’ils ne sauront même plus se dépasser lors du jour J où leurs vies sera en danger et ils ne suspecteront pas le moindre potentiel à cet issue. Pathétique, c’est pathétique de s’investir émotionnellement de cette manière dans un combat d’entraînement. Beaucoup de monde observait, parmi eux beaucoup de tête que j’avais déjà vue. Je les avais un peu tous observé, je savais qui ils étaient, quels étaient les ragots à leurs sujets, leurs corde sensible. Pourtant je n’avais que rarement eu l’occasion de jouer de ce genre d’information. Pourtant, là, j’en avais envie. Je venais de passer presque trente minutes à frapper les mannequins de toutes mes forces, de tournoyer autour d’eux avec agilité et faire glisser ma lame à de multiples reprises dans des endroits stratégiques de leurs « corps ».

Cependant, à ce moment précis, au milieu de la cohue, je vis une combattante s’avancer au milieu du cercle de combat. Apparemment, ils semblaient intimidés par sa présence. C’était une fille de Mars il me semble, mais je ne savais pas son nom. Je ne sais pas si c’est l’audace ou la stupidité qui me fit pousser les personnes pour me rendre au sein du cercle de combat à mon tour. J’étais équipée de ma lame souple en main gauche, car je suis gauchère, et de la dague que m’a forgée Keith en main droite. Sans même prendre une posture de combat directement, je faisais tournoyer les lames dans mes poignets pourtant déjà chaud avant de m’adresser à elle.

« Je te laisse venir dès que tu es prête. »

Une simple banalité accompagnée d’un petit sourire, ma dague en or romain reflétée le soleil et brillait fortement contrairement à ma lame souple qui elle de son côté était bien plus sombre et plus adapté à être une arme dissimulable. D’ici quelques instants, ça allait chauffer et la sueur allait perler le front des deux jeunes filles.


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MessageSujet: Re: Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena]   Tant mieux, ça ne nous intéresse pas [Elena] EmptyJeu 19 Fév - 16:33

Elena / Alison
Un bruit reconnaissable entre tous de lames fendant l’air me fit hausser un sourcil, sans pour autant qu’un mouvement ne vienne répondre à ce bruit, pas un seul de mes muscles ne sentit le besoin imminent de se mettre en marche. Il y a des nerveux à toute heure de la journée et l’idée de lui tourner le dos ne me déplaisait pas vraiment. Mon regard passa de gauche à droite, pas de Reyna dans mon champ de vision, l’ordre ne venait donc pas d’elle. Je n’avais pas spécialement envie de me battre, enfin si clairement, j’aimais ça et taper sans réfléchir sur les gens avait quelque chose de grisant. Cependant mon attirance pour Cameron était plus importante que toutes les envies de se battre, j’avais juste envie de la rejoindre. J’allais donc, dans l’optique, dire à la personne d’arrêter de s’agiter dans tous les sens puisque je n’avais pas que ça à faire. Ah jolie phrase, grande envie, sauf que le gars en question se révélait être une fille qui non content de me casser les oreilles à fouetter l’air avec son arme comme pour se prouver qu’il savait les manier, ce qui était débile d’ailleurs manquerait plus que ça, m’invita à le rejoindre quand je serais prête. Sauf que le gars en question semblait par sa voix être une fille, oh non sérieux, j’avais donné pour les combats féminins étant petite. J’avais aussi appris l’art d’éviter les gens avec mademoiselle zut comment qu’elle s’appelait la pote de Cameron… Aucune idée mais si j’évitais te taper sur les gens depuis le début de la matinée, ce n’était certainement pas pour le faire dès que la prétendue leçon, qui n’apprenait rien à personne, serait terminée.

Je me voyais mal expliquer à Cameron que j’avais préférée arriver en retard pour un combat, la fille de Cérès avait beau avoir bon dos, enfin ce n’était pas non plus la seule chose de bonne en elle. Oh pitié, il fallait que je cesse de penser à ce genre de chose. Surtout qu’à la base, le principe du bon dos c’était bien d’accepter certaines choses, c’est sûr que dit comme ça, ce n’est pas forcément mieux. Dans tous les cas, Cameron n’adorerait pas vraiment l’idée que je puisse préférer jouer à la bagarre plutôt que de venir la retrouver. Quoi que jouer n’est pas le terme adéquat, je n’étais pas sûre de savoir jouer à la bagarre, quand je me bats, c’est pour gagner. Je ne voyais pas l’intérêt des entraînements où il faut arrêter son coup avant qu’il atteigne l’autre. Dans mon esprit, le but des coups, c’était à la base d’empêcher l’autre de revenir. En quoi le provoquer puis arrêter le poing à deux millimètres de  son visage, c’est logique, moi la première personne qui me fait ça mais elle meurt étouffée par le sable de la carrière. Lorsque j’y réfléchissais cinq seconde, depuis quand on hélait les gens à la façon d’un pirate pour une espèce de duel sans savoir si l’autre était vraiment dans le cercle pour se battre. Je voulais juste des sensations, pas vraiment un combat. Finir sur le terrain était d’accord je le reconnaissais, une mauvaise idée, l’idée de se retrouver avec du sang rouge façon écrevisse sur mes habits très peu pour moi. Tien j’avais oublié ce détail, le sang ça ne part pas au lavage et encore moins sans rien faire. Ce serait un pouvoir intéressant ça, claquer des doigts et le sang disparaît, claquer des doigts et pouf il revient. Ouai, c’est sûr que niveau utilité, on repassera une prochaine fois.

Délicatement, je me tournais pour l’observer consciencieusement, mon regard s’arrêta sur ses armes, sur l’air décidé qui animait son visage. Je secouai finalement négativement avant de marmonner peu encline à parler longuement. Je ne me battrais pas, un point c’est tout trop d’orgueil en moi pour me rabaisser à combattre quelqu’un et puis merde, pour peu qu’elle essaie d’esquiver ce qui tôt ou tard lui tomberait dessus, j’avais la flemme rien que d’y penser. Je n’étais pas motivé à jouer au chat et à la souris aujourd’hui. Je voulais ma copine, pas d’un combat quelconque avec une fille quelconque qui avait envie de se prouver à elle-même qu’elle était une grande combattante. Quitte à emmerder quelqu’un, autant aller voir Reyna, je suis persuadée que notre grande préteur serait pleine de joie à l’idée d’envoyer quelqu’un mordre de la poussière puis se relever. Pour mon cas, j’aimais mieux que la personne qui tombe ne se relève JAMAIS.

« Tu te méprends, je n’ai pas l’intention de me battre avec toi. »


Les combats trop faciles, ce n’était pas mon truc. Je n’étais pas capable de lever le pied si je décidais de me battre, je n’avais aucune retenue et je ne faisais pas vraiment la différence entre le bien et le mal, ni lorsqu’il fallait s’arrêter. J’avais autre chose à faire que d’entraîner une morveuse faisant joujou avec ses armes dorées. Sans chercher la merde, je me déplaçai dans sa direction pour la contourner.  Après tout, quand bien même l’idée d’un combat aurait été alléchante, je ne voulais pas finir toute crasseuse de poussière et après aller me pointer devant Cameron pour avoir des câlins. Non, ce ne serait pas correct et s’il fallait se battre, j’avais ma petite blondinette à entraîner, ce qui allait être très long, elle était laborieuse au combat. Sauf qu’à la différence avec cette fille aux deux armes qui m’était totalement inconnu, je savais que je ne ferais pas de mal à Cameron. Je ne risquais pas d’avoir un coup mal placé et de la blesser. Ce que je ne pouvais dire de mes autres combats, j’aimais trop la victoire  éclatante pour me maîtriser pleinement. Mieux valait-il donc refuser le combat, surtout lorsqu’il n’y avait pas de challenge. C’était une fille trop fine pour que ses os aient la puissance de résister à un coup de patte. De toute façon, je n’avais pas à réfléchir à ça. Je ne me battrais pas, un point c’est tout et je rejoindrais Cameron. Fièrement, la tête levée, je la dépassai sans même lui accorder un regard, même pas à la hauteur, tsss.

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