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 Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia]

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MessageSujet: Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia]   Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia] EmptyMer 4 Mar - 20:12

Olivia ∞ Morgane
Les bourrasques de vent secouaient les arbres qui essayaient tant bien que mal de rester droits et fiers, enfin ça restait des arbres. Un écureuil à la queue toute ébouriffée slalomait entre ces mêmes arbres, un chien à ses trousses. L’éclair roux s’élança finalement et ses griffes s’accrochèrent dans l’écorce du tronc. Durant quelques secondes, l’animal fut entraîné en arrière par son propre poids. Sa vie sembla prête à quitter cette petite boule de poils avant qu’il ne se retienne et grimpe hors de portée du cabot qui se tenait dessous à aboyer comme un imbécile. Fanta qui dormait pourtant confortablement sur mes genoux ouvrit alors les yeux. Son regard vitreux peina à se concentrer sur la réalité, elle tenta vaguement un petit aboiement entrecoupé par un bâillement, constata que ça ne servait strictement à rien et se rendormit, encouragé par mes caresses sur son poil sombre. Ma poitrine se serra douloureusement, pourquoi avec Adrian nous n’avions pas eu le temps de nous mettre hors de danger comme cet écureuil. A présent, je devais apprendre à vivre sans regarder derrière moi, il ne me suivait pas et ne me suivrait plus jamais. Tout me manquait intensément et je me sentais incroyablement seule dans ce monde. Ce n’était pas le fait de ne pas être épaulé qui provoquait cette réaction, mon père était là et si j’avais pris mon portable, j’aurais pu voir des textos qui tenteraient de me remonter le moral, sans qu’il y parvienne. Ce n’était pour le moment pas possible, tous les jours il fallait aller à la morgue et organiser cet enterrement. Je ne comprenais même pas leur emballement, ce n’était pas vraiment mon problème de savoir quelle composition florale mettre et encore moins de savoir comment placer les invités. Clairement, je m’en foutais, ce n’était pas mon mariage et leurs motivations à tous rendait ma peine plus grande. Si ça n’avait pas été Adrian, j’aurais donné carte blanche à mon père et j’aurais juste choisi la musique qui me plaisait pour l’ambiance. Ah putain, je n’avais pas la moindre idée de quelle musique mettre, qu’est-ce qu’il fallait mettre, merde ce n’était pas des réjouissances et en même temps, si je mettais un truc triste, tout le monde saurait que je n’étais clairement pas capable de me prendre en main. Sans oublier le magnifique discours qu’il fallait faire pour honorer sa mémoire, discours où je devais taire tout ce qui le caractérisait, quel demi-dieu il était, le bonheur d’avoir trouvé ma place dans ce monde, dans le creux de ses bras. Non, je ne voulais pas de ça. Aucune idée ne venait à part cette envie de leur dire à tous, je vous emmerde, vous aviez qu’à protéger mon copain avec votre fric mais c’était injuste, normalement Adrian n’aurait pas eu besoin d’aide.

En plus, en temps normal on prévient sa belle-famille, je n’étais pas certaine qu’ils adorent l’idée de voir leur belle-fille qui en guise de présentation leur annonçait de but en blanc que leur fils prodige était mort dans mes bras. Oh mais oui, comment se faire des ennemis, leçon numéro un. Je n’avais pas la moindre idée de comment rejoindre le camp Romain pour leur parler en plus, enfin si, je savais utiliser le miroir, rien de trop sorcier à ça. Le problème c’était pour accéder au miroir, je n’étais pas certaine de pouvoir sautiller gaiement dans le campement Grec sans qu’ils ne m’arrêtent, même si Hailey ne serait certainement pas celle qui poserait la main sur moi mais pas sûre qu’elle ne soit pas satisfaite intérieurement qui m’arrive malheur. En tout cas, une chose était sûre, elle ne m’aiderait certainement pas à passer chez les romains et je n’en connaissais aucun pour demander directement. Bon bah au moins, je pouvais d’ors et déjà barré les parents de la liste des gens à placer. Rien que d’imaginer la tronche de la femme qui se prenait pour une organisatrice hors pair, ça me désespérait d’avance. Elle allait poser des questions pour savoir pourquoi je n’invitais pas les parents d’Adrian et je n’avais pas le loisir de m’épancher sur ma vie que je qualifierais moi-même de privé. Oh bordel, je n’étais pas très motivée pour y aller mais ça n’allait pas se faire tout seul, manque de bol.  C’était bien dommage et en même temps, c’était mon petit ami et il fallait bien que je m’investisse, pour lui.

Lorsque la silhouette d’Olivia apparut dans mon champ de vision, je lui adressai un signe de la main, arrêtant pour ce fait de caresser Fanta qui gigota sans pour autant ouvrir les yeux, le bébé chien par excellence. Olivia était mon dernier lien avec les partisans mais à mes yeux, elle n’était pas plus partisane qu’Adrian ou moi, est ce que je devais la mettre en garde contre ce camp. Je n’étais plus très sûre de moi, aucun camp ne se valait et elle n’était peut-être pas très motivée pour quitter celui qui l’avait accueilli en son sein. Moi-même, je n’aurais pas fait cela si Adrian n’avait pas été l’électrochoc me faisant sortir de ma léthargie et de mon ignorance. Oh, j’avais beau être en colère contre Jayson pour ce qu’il avait fait à mon âme sœur, même si je l’avais en face de moi, démuni, je l’aiderais, parce que c’était dans ma nature et que je refusais de devenir un bourreau à mon tour. Finalement, écartant le petit animal de mes genoux, je me levais pour aller voir directement ma confidente, est ce que je devais tout lui raconter. Je n’étais pas très sûre et il y avait des bruits de couloirs je supposais, il y avait toujours des bruits de couloirs. Je fermais les yeux quelques secondes pour ne pas me laisser envahir par les larmes, oh j’aurais tellement aimé qu’il soit encore là. Concentré sur le moment présent, je décidai de briser la glace et de tenter de parler, timide et mal à l’aise, ce qui était assez rare.

« Salut, tu vas bien ? »

Oui, nous sommes d’accord, c’était balourd comme question mais rien ne venait, j’avais besoin de faire des trucs de bases, ce serait plus simple, tellement plus simple que de commencer à parler de moi. En plus, je devais demander de l’aide pour un vieux discours de merde dont tout le monde se foutait éperdument sauf la madame qui me culpabiliserait si je disais que je n’avais pas envie de parler.

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MessageSujet: Re: Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia]   Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia] EmptySam 7 Mar - 17:21



A mon tour de te tendre la main...

© Never-Utopia


S'il y avait bien un avantage à l'immense désintérêt que les partisans éprouvaient les uns envers les autres, c'était bien celui de pouvoir disparaître sans que personne ne s'en inquiète. Je me contentai donc d'accrocher un papier à la porte de l'infirmerie, indiquant que j'étais absente mais qu'en cas d'urgence il restait du doliprane et des pansements dans l'armoire à pharmacie, avant de quitter le camp.
Assise dans le bus qui m'emmenais vers sa destination, je posai mon visage contre la vitre froide afin de ne pas être dérangé. Je fermais les yeux, et les souvenirs affluèrent dans mon esprit.

•••

Mes premiers jours chez les partisans avaient été plutôt chaotique. Leur univers était très loin de celui rempli de justiciers aux idéaux chevaleresque que m'avait promis Aaron. C'était juste un monde de violence et de cruauté, où tous rêvaient de vengeance. Et je sentais bien que je n'y avait pas ma place. Les autres aussi d'ailleurs et ils méprisaient mon innocence et ma gentillesse, preuve de faiblesse à leur yeux. C'est ainsi qu'environ un mois après mon arrivée, un partisan particulièrement con, sadique et pervers décida de : "s'amuser avec la gentille p'tite nouvelle".
Il avait donc coincé l'adolescente de 15ans que j'étais à cette époque dans un coin vide de l'infirmerie et tentait de m'embrasser de force, lorsque la porte s'ouvrit. Je cessai de me débattre et relevai la tête juste à temps pour voir une bottine à la mode écrasait impitoyablement l'entrejambe de M. L'obsédé. Ce dernier s'écroula au sol en gémissant, laissant apparaître une jolie brune, qui devait être du même âge que moi.
"Pardon mais je n'aime pas beaucoup que de gros lourds m'empêche de me faire soigner mon ongle cassé ! S'exclama Morgane avec insolence et sans aucun remord en me tendant une main, aux ongles impeccables, alors que j'étais recroquevillée contre le mur.

Après cette rencontre mouvementé, je devins très proche de celle qui me ressemblait par de nombreux points. je réussi finalement à trouver ma place, mais je devais beaucoup à celle qui était vite devenu ma confidente.

•••

Aussi lorsque j'avais appris le décès d'Adrien, mon cœur s'était comme arrêté. Je n'avais pas hésité une seconde, et après un rapide coup de fil à M. Blake, pour savoir où était sa fille, dont le portable était visiblement éteint, j'avait accouru à la morgue de New-York. Je m'égarais plusieurs fois dans le dédale des couloirs à la blancheurs écœurante, et quand pour la cinquième fois je repassais devant la même machine à café, je ne pus m'empêcher de donner un grand coup dedans, afin d'extérioriser ma rage. Morgane avait besoin de moi et tout ce que je trouvais à faire était de me perdre ! Raaah mais quelle idiote ! mon cœur se serra en imaginant la douleur de la fille de Cérès. J'avais été la confidente de chacun des regards, de chacune des paroles qui révélaient l'amour que ces deux-là avaient ressentis l'un pour l'autre... Alors que je m'apprêtais à retaper sur la machine, une employée se précipita à la rescousse de la malheureuse victime de ma colère et m'indiqua la salle que je cherchais.

Lorsque enfin je trouvai Morgane, mes yeux s'agrandirent d'étonnement. La jolie brune avait changé s'était certain. Elle semblait avoir vieilli et être affaiblis. Lorsqu'elle parla sa voix paraissait brisé. Les mots qu'elle prononça étaient si... étranges et maladroits dans cette situation et si touchants par leur simplicité que je ne pus résister à la serrer dans mes bras aussi fort que je le pouvais.

"Ne dis rien... Je suis là. chuchotai-je en caressant doucement les cheveux de l'ex partisane. J'aurai eu envie de dire tellement plus mais tous les mots qui me venaient à l'esprit semblaient vide de sens.

Je croisai le regard de mon amie. La flamme fière qui y brillait le jour où elle m'avait sauvé de la solitude avait disparu, remplacée par l'éclat brillant de larmes contenus. Alors je lui saisis la main et tournant les talons l'entraînai vers la sortie.

- Ne restons pas là, cette endroit me file la nausée ! "

Depuis des années Morgane avait été là pour moi quand j'en avais le plus besoin, aujourd'hui je me devais de lui tendre la main à mon tour.
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MessageSujet: Re: Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia]   Tu auras bien le temps, car certain sont méchants, de connaître les soucis et les chagrins durant ta vie [Olivia] EmptyMar 10 Mar - 15:53

Olivia ∞ Morgane
Fanta venait de se casser la margoulette en descendant du banc, ce n’est pas faute de lui avoir répété quinze mille fois que lorsqu’on est tout petit, on évite de faire comme les grands. Ce n’était pas pour rien que je ne me battais pas, ce n’est parce que j’avais analysé, longuement, Hailey se battre que j’avais forcément les ressources nécessaires pour me battre à mon tour. De toute façon, dans mes souvenirs que j’avais de l’autre détestable fille qui avait prétendue être mon amie, si j’avais fait un pas sur un champ de bataille, j’aurais été soulevé du sol, attachée contre un arbre et j’aurais dû attendre que mon adorable protectrice, adorable à l’époque, vienne me délivrer. Une partie de moi était en manque d’Hailey, parce qu’elle connaissait ma faiblesse, parce que je crois que j’essayai désespérément de trouver une place dans ce monde, ni humaine, ni demi-déesse, je ne savais plus qui j’étais. Adrian me manquait trop pour que je sois rationnelle, j’avais besoin de sa présence, ses mots d’amour et qu’il me guide dans ce monde. Ce n’était pas agréable de devoir faire un discours pour une personne perdue, je me demandais comment les autres avaient fait avant moi. Il paraissait pourtant évident, à mes yeux, que c’était impossible, personne ne pouvait partager ce qu’un couple ressentait et devoir les mêler à ma vie privée, ce n’était pas encourageant ni même plaisant.

Je finis par abandonner ce genre de pensée en apercevant le regard inquiet d’Olivia, devais je mentir et prétendre que tout allait bien ? Non, je ne serais jamais une menteuse, je ne prétendrais pas que tout allait bien, c’était faux et mon petit ami me manquait trop pour cela. En revanche, je pouvais comprendre que c’était inquiétant pour tout le monde, je n’arrivais pas à sortir cette foutue tête de l’eau, toutes mes pensées me menaient à sa mort et à ce fichu enterrement qui arrivait. J’éprouvais une puissante reconnaissance lorsqu’elle m’attrapa dans ses bras, je ne prétendis pas ne pas avoir besoin d’aide, c’était tout l’inverse, si on me tournait le dos, je ne me relèverais pas. Est-ce qu’elle me considérait comme ennemie à sa cause. Bien sûr que j’étais au courant qu’Oli n’était pas méchante, qu’elle n’était pas plus partisane que moi et qu’on passait plus de temps à regarder les blessures des gens qu’en faire. J’aurais d’ailleurs adoré que mon don touche au soin, il n’y a pas moyen de changer de don ? Non parce que moi faire des sables mouvants, ça n’était pas mon truc, pourquoi certains avaient deux dons et comment se faisait-il que moi je devais me contenter d’un seul don, pourri qui plus est ou tout du moins qui se révélait complètement inutile puisque je ne ferais pas de mal, à personne, pas même à Jayson bien que je lui en voulais comme jamais je n’en avais jamais voulu à personne, comment avait-il pu se laisser dépasser par sa haine, Adi restait un humain, ça ne leur faisait donc rien de voir du sang s’écouler hors du corps ? On sentait bien les gars qui ne venaient pas souvent à l’infirmerie voir les blesser, sinon ça les calmerait un peu, j’espérais tout du moins.

Je gardais le silence comme elle me l’avait demandé. Me contentant de rester contre elle et de sentir sa chaleur essayer d’envahir mon être, oui elle était là et oui c’était une bénédiction de la savoir à mes côtés. Au moins elle était là, nul doute que mon père n’était pas étranger à sa présence. Il faudrait peut être que je lui explique, gentiment, que le principe de couper mon portable, c’était pour éviter qu’on me parle. Là il s’agissait d’Oli, ça allait mais si c’était Meg qui était à fond dans la cause partisane, ça se passerait beaucoup moins bien, sans parler d’Hailey qui soufflerait le fameux « Je te l’avais bien dit qu’ils étaient tarés » ça se passerait beaucoup moins bien. Je grimaçai à cette évocation, le mieux c’était de prévenir papa, mais pas maintenant et puis la présence d’Olivia me faisait plaisir.

Je fis la moue lorsqu’elle m’incita à quitter l’endroit, mon regard chercha la porte derrière laquelle Adi se trouvait, une part de moi voulait rester ici, avec lui mais la rationalité me soufflait qu’à moi aussi cet endroit ne me plaisait pas, il s’agissait d’un endroit sombre et je n’avais rien à faire ici. J’acquiesçais et l’entraînai vers l’extérieur, cherchant du regard Fanta qui nous doubla bien vite de sa démarche pataude.

L’éclat du soleil me força à fermer les yeux quelques secondes, j’avais encore passé pas mal de temps enfermée là-dedans, je n’avais plus la moindre notion des minutes qui passaient, je n’aurais su dire avec précision combien de temps s’était passé. Je me baissai pour attraper mon chien, il aurait été dommage de perdre Adrian et Fanta le même mois. Ma main caressa le poil soyeux tandis que je me décidai enfin à parler, expliquant mon envie de rester là-bas.

« Je dois faire une sorte de discours, je crois que j’espérais qu’en restant tout prêt d’Adrian, l’inspiration me viendrait. »

Je gardais quelques instant le silence, hésitant à reconnaître que l’inspiration s’arrêtait à j’ai envie de rentrer chez moi. Non, on ne pouvait pas dire ça dans un discours, ce serait mal venu et je crois que la dame me lancerait un tel regard que je me planquerais derrière papa comme une enfant. Je posai un regard hésitant sur la voiture sombre garé au coin de la rue. Oh je vois, j’étais encore suivie comme lorsque j’avais quinze ans et que j’essayai sans succès de m’émanciper. Je fis un bref signe de main au chauffeur, de toute façon il ne me lâcherait pas. Est-ce que Papa craignait que je me fasse tuer par les partisans, étrangement, j’en doutais, si Jay avait eu l’intention de me voir morte, il l’aurait fait. Ça impliquait tant de chose la mort d’Adrian que je demandais, sans quitter la voiture des yeux.

« Tu crois qu’on peut continuer à se voir ou tu crains pour ta vie ? »

Je ne voulais pas qu'il lui arrive des misères par ma faute, je n'avais pas le pouvoir de la faire sortir du campement et s'il fallait nous séparer pour qu'elle reste en vie, je le ferais, même si c'était un peu compliqué de se dire ça, je l'aimais beaucoup.
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